« Colonel… » demande un policier. « Vous ne pouvez pas monter ». Écartez-vous » ordonne Carrera. Scène de crime ou pas, lui et son unité des Forces Spéciales se chargent de reprendre l’enquête. Qu’importe que l’inspecteur lorcan y ait quelque chose à redire. « Il s’agit de l’homicide d’un civil ! Qu’est-ce que les Impacteurs ont à voir là-dedans ? ». « J’ai des ordres… » répond le colonel. « Montrez-moi le caisson qu’on en finisse ». « Très bien mais sans armes ». D’après son estimation, le suspect N°1 s’est fait injecter juste avant le massacre. « Seules les armes d’Axley et de son service de sécurité ont été retrouvées » poursuit l’inspecteur. « À votre avis… » s’interroge Carrera. « De qui s’agit-il ? ». « D’un militaire traumatisé par la guerre, j’imagine ». « Vous avez une basse estime des vétérans ». « Je sais surtout qu’Axley en engage un certain nombre. Vous savez qu’ils lui ont mis des gènes de chien ? ». « Ou peut-être les gènes d’un loup ? ». « Qu’importe, ça reste un museau et quatre pattes ! Axley aurait dû le tenir en laisse ». On dirait bien qu’il est temps pour le loup de montrer les crocs. […] « On remballe ».
Je commence à m’attacher de nouveau à l’univers impitoyable d’Altered Carbon ! Ici, ce Marché de L’Âme dans lequel sont revendues des piles THD à prix d’or est ignoble. Plus rien n’est sacré. Pas même les souvenirs des défunts. Numérisés avant d’être détournés à des fins d’entertainment. Je me demande si c’est la raison pour laquelle Quell, revenue d’entre les morts, fait tout pour tuer les Maths. Horace Axley. Haruki Okada. Anton Durov. Non-seulement leur pile THD est détruite mais leurs sauvegardes en ligne sont effacées. Comment Quell a t-elle pu survivre ? Il semblerait que Rei ait dit la vérité mais même si c’était le cas, pourquoi une enveloppe en tout point similaire à la précédente ? Je ne sais pas encore si cette S02 parviendra à justifier sa présence mais on en prend le chemin. Les scènes d’action sont plutôt bonnes mais trop hachées ! Quand on a vu des The Raid et John Wick III, on ne peut s’empêcher de faire la comparaison. Le chien et le loup, ahah.