Au 11e siècle, l’invasion de l’Angleterre par l’armée danoise et les Vikings ne fait que s’intensifier. Mais, en ce ce jour d’octobre 1012 où les attaques n’ont de cesse de pleuvoir, un tournant décisif a lieu. Avec la décision du roi Sweyn de laisser les soldats de faire reposer leurs forces. « Nous frapperons l’été prochain et ce sera moi qui dirigera l’armée » annonce-il à Floki, lieutenant des Jomsvikings. […] « Et maintenant, on fait quoi ? » demande Bjorn à Askeladd. « Nous avons déjà attaqué tous les bons villages et nos ressources s’amenuisent ». « Nous suivons les oiseaux ». […] Royaume de France, Rivière de la Loire. Alors que les Français combattent entre eux, Askeladd observe avec appétit le quartier général des attaquants déchus. « Nous allons nous allier avec eux et prendre le fort ». Voilà comment les mercenaires vikings survivront l’hiver. « Bien ! T’es réveillé, Thorfinn ? Nous partons en guerre ! ». Et que le Dragon D’Automne frappe de tout son poids.
WOW ! Moi qui trouvais le rythme de Vinland Saga lent (quand bien même cela n’entache pas drastiquement la qualité folle du manga), j’ai été plus que comblé par cet épisode. L’attaque du Fort français situé près de la Loire était folle ! La musique transporte les coeurs et les seiyuu accomplissent à nouveau une prestation remarquable. Askeladd a un génie tactique particulièrement redoutable ! Faire transporter le Dragon D’Automne et ses comparses par les mercenaires sur la terre ferme. Avant de les balancer dans la rivière et prendre le fort à revers. Épique ! Quand bien même la violence de l’assaut rappelle que ces massacres ont bel et bien eu lieu à une époque de notre histoire. Les Vikings étaient loin d’être des enfants de choeur. Sur ce, vivement le duel entre Askeladd et Thorffinn ! Lequel est devenu un guerrier particulièrement redoutable. Au point de décapiter le leader du fort alors qu’il était entouré de ses hommes. Mais quelque chose me dit qu’il n’est pas encore à la hauteur pour affronter un homme tel que Askeladd. Rendez-vous à l’épisode prochain.
