Samedi 1er août 2026 : L’heure est venue pour la société Rath de dévoiler la première véritable intelligence artificielle. Soit une personne faite de chair et d’os. « Je vous présente Alice » annonce Ringo Kojiro tandis que l’intéressée avance d’un pas décidé. « Peuple du véritable monde… » entame l’ex-chevalière. « Ravie de vous rencontrer. Je m’appelle Alice. Alice Synthesis Thirty ». […] « La conception génétique menée par Rath ne cesse de m’épater… » s’étonne encore Shino Asada alors que Alice est présentée à la presse. « On voit à peine une différence avec notre Alice de l’Underworld ». Qui plus est, la conscience présente au sein de son cerveau ne saurait être réécrite par quel que code que ce soit. « Tout comme n’importe quel humain ». Reste à affronter les inquiétudes de celles et ceux qui craignent l’apparition de « soldats parfaits » dans un futur proche. Que ce soit dans l’industrie de l’armement ou, plus généralement, le marché du travail. « Les mots ne suffiront pas, cette fois-ci ».
Qu’il est émouvant de voir Alice avancer d’un pas décidé dans le vrai monde ! Il faut dire qu’elle est bien entourée ! Malgré l’absence de l’homme qu’elle aime… Sacré Kirito ! Je ne compte même plus le nombre de femmes qui sont tombées amoureuses de lui. Pour revenir à la véritable intelligence artificielle, y parviendrons-nous d’ici 2026 ? Peu probable vu que la date butoir du lancement de Sword Art Online, premier MMO bénéficiant d’une véritable réalité virtuelle, se rapproche à grand pas (2022). Il n’empêche que si cela arrivait, serions-nous capables, en tant que civilisation humaine, de reconnaitre les droits d’avatars dotés d’une telle intelligence ? Cela reste à prouver tant la noirceur de l’Homme est vive et constante. L’idée de Seijirou Kikuoka de faire interagir un maximum de joueuses et joueurs avec le peuple de l’Underworld est une bonne idée. Pour peu que l’opinion public reconnaisse l’humanité d’une fluctlight, le gouvernement japonais pourra difficilement s’emparer d’une telle technologie à des fins mercantiles et militaires. Et c’est tant mieux vu le danger que représente la copie fluctlight d’un être humain ! Celles de Kazuto Kirigaya et Akihito Kayaba ne devraient plus tarder à nous le prouver. Au final, ce fut une S04 rondement menée malgré quelques facilités ci et là. Et que d’émotions ! Les disparu(es) nous manqueront indubitablement. Plus qu’un épisode avant la conclusion.
8/10
*Coup au Coeur*
