Osanai et tout le gang de Moebius qui se ramènent droit vers Mikey et ses lieutenants de Toman. En un instant, le pire scénario possible a déboulé. « Vous vouliez une guerre des gangs, les pisseux ? » s’amuse Osanai Nobutaka. « Vous allez l’avoir ! ». « Tout ce monde pour des collégiens ? » s’interroge Mikey. « T’es exactement le déchet que j’imaginais, Osanai-kun ». « Qu’est-ce que tu jactes, la mouche ? ». Du coté de Takemichi, celui-ci a bien du mal à réaliser que le Osanai qu’il a rencontré douze ans plus tard et celui-ci sont la même personne. « Qu’est-ce qui a pu le briser à ce point au cours de ces années ? ». Mais à peine a t-il le temps de réunir ces pensées que Nobutaka lui décoche plusieurs coups de poings. « Je rêve ou tu m’as regardé de haut ?! Tu tiens tant que ça à mourir ?! ». Et c’est ainsi que l’inéluctable avança à grands pas.
« La guerre des gangs n’était que le point de départ ». De fait, dès lors que Pah-chin, capitaine de la 3e division, fut arrêté par la police, une brèche se produisit sans que personne ne réalise quoi que ce soit. Pour l’heure, les frictions entre Draken et Mikey suite au fait que Pah se retrouve en prison pour un an n’ont pas l’air si grave. Oui, ils se foutent sur la gueule mais rien de fou par rapport à d’habitude. Que va t-il pouvoir se produire pour que la situation dégénère jusqu’au point de non-retour ? Une chose est sûre, le rythme de Tokyo Revengers est sacrément calibré ! Dès la fin de l’épisode, je me retrouve à hurler de rage en me disant qu’il va falloir patienter une semaine de plus pour voir la suite. Qui aurait pensé que l’intrigue soit aussi prenante ?! Allez, la suite ! Draken ne mourra pas ! Il est bien trop classe pour cela !!!