« Vous croyez que le monstre dort à cet endroit ? » s’interroge un jeune homme accompagné de deux ami(e)s à lui. « Il n’y a personne ! ». « J’ai peur ! » se plaint la fille. « Allons-nous en ! ». C’est à ce moment que Fushi, métamorphosé en Oniguma, surgir en rugissant. Objectif —> Filer une bonne frousse à ces impertinents ! « Bien joué, Fushi ! » s’exclame Gugu. Sur ce, il est temps de s’amuser en ville ! Entre monstres. […] « Quand j’y pense… » souffle Gugu après s’être évanoui et avoir été ramené dans sa tente par son frère. « Ça fait un moment que je n’ai pas mangé ! T’as rien sur toi, Fushi ? ». « Non… ». « Je vois ». Mais quand Fushi y pense, que se passerait-il s’il se mettait à penser fort à la poire que Maman March lui avait jadis donné ? « Hoooo ! » crie Fushi après avoir fait apparaitre le précieux sésame dans le creux de sa pain. « Regarde ! J’ai crée une poire ! ». Et ce n’est pas tout ! « Poires ! Dangoooos ! ». Itadakimasu !
Je trouve intéressant le fait que Rean, malgré des origines bourgeoises, ait soif de liberté au point de sans cesse fuguer de chez elle. Pourtant, là-bas, elle est pomponnée, a un toit luxueux sous lequel dormir et une armada de servantes chargées de l’assister. Pourtant, jamais ses parents ne lui ont permis d’être « Elle ». Ou du moins la possibilité d’explorer ses envies et ses rêves. Une cage dorée, en quelque sorte. Ce qui ne me surprend pas. Combien de centenaires a t-il fallu pour que les femmes, y-compris celles issues de milieux nobles, obtiennent leur indépendance ? Pendant longtemps, la « tradition » fut de les marier de force à de « bons partis ». Au diable, l’Amour. Au diable, la liberté. Au moins Rean peut-elle faire ce qu’elle veut en compagnie de Gugu et Fushi. Y-compris la possibilité de se cacher derrière un masque et prétendre s’amuser « entre monstres ». Allez, la suite ! J’espère que Gugu et Fushi parviendront à rentrer à la maison et vaincre la créature ! Plus de drama, s’il vous plait !