Maintenant que Dinah Madani a disposé de Krista Dumont, Billy Russo va sans aucun doute tenter de la tuer. L’occasion parfaite pour en faire de même. D’autant plus que Billy est encore moins maitre de lui-même que d’habitude. Une balle. Deux balles. Bien sûr, Dinah ne vise pas la tête. « Pourquoi a t-il fallu que tu te venges sur elle ?!! ». Après avoir été mise au sol, Dinah parvient à tirer une troisième balle mais Russo ne relâche pas son emprise de son cou. La jeune femme sent ses forces l’abandonner petit à petit mais c’est également le cas de Billy qui finit par s’évanouir. La question est de savoir s’il est parvenu à tuer Madani ou si Madani est parvenue à tuer Billy. À moins que… […] « Ce sont de bons garçons… » glisse Eliza Schutz à son mari. « Rebecca serait tellement fière ». « Ils me demandent sans cesse où est leur père » l’informe Mr. Schutz. « Que leur as-tu dit ? ». « Qu’il remplissait une mission sacrée très importante, qu’il les aimait et rentrerait bientôt ». « Tu sais… » confesse Eliza. « Lemuel est un garçon très intelligent. Je pourrais en faire quelqu’un ». « Nous ferons ce qu’il faut pour ces deux-là ». Ainsi que pour Rebecca et John.
Quel mic-mac invraisemblable. Entre Dinah qui ne one-shot pas Billy alors qu’elle en avait l’occasion. Ce même Billy qui survit à trois balles histoire d’être achevé par Castle (j’ai ceci-dit apprécié la brutalité de la chose). Le combat Frank X John où on a l’impression que ces deux-là se sont temporairement vus confier un squelette en adamantium. Krista Dumont qui SURVIT. Du coté des points positifs, on notera la belle relation Amy X Frank qui permet à Castle de renouer un tant soit peu avec ce bonheur qu’était le sien. Lorsqu’il avait encore sa famille à ses cotés. Et c’est à peu près tout. Le fait d’épargner John alors qu’il a tué moult innocents est pour ma part incompréhensible. Qu’importe qu’il ait obéit aveuglément aux Schutz qui se voient offrir, au passage, un traitement assez bâclé. Dans l’ensemble, ça me fait mal de le dire mais cette S02 m’aura peu marqué. L’inspiration répond souvent aux abonnés absents et l’écriture s’avère défaillante à de nombreuses reprises. Heureusement que le casting, très bon et porté par un Jon Bernthal iconique, sauve un peu les meubles. Je retiendrai pour ma part l’excellente S01.