La quête en vue de rejoindre la lune portuaire de Trask continue ! En espérant que Mando, Bébé Yoda et la Voyageuse ne tombent plus sur des Araignées Hivernales assoiffées de sang. « On dirait que nous avons réussi mais le guidage ne répond pas… » s’agace Din. « Il va falloir passer en manuel ! ». Une fois entrés dans l’atmosphère, tout devrait aller mieux. Pour peu que le Razor Crest ne s’enflamme pas. « Accrochez-vous ! ». Etttt c’est l’échec ! Le vaisseau finissant par sombrer dans l’eau du port. Heureusement qu’un Walker Remorqueur est dans le coin ! « Faites de votre mieux » demande Mando en refilant un Beskar à l’ingénieur en chef. Pendant ce temps, la Voyageuse vient de retrouver son chéri ! Quelles émouvantes retrouvailles ! « En un sens… » réalisa Mando dans un coin de sa tête. « Le lien que j’ai avec l’Enfant ressemble à ce que j’ai sous mes yeux ». Non loin de là, une membre du Clan Kryze observe la scène avec un oeil éveillé. « Il faut que j’aille prévenir les autres ».
Ainsi se poursuit la traversée du Mandalorien et de l’Enfant ! Et je dois bien admettre que Disney a accomplit un sacré boulot en matière de grand spectacle. L’univers, la bande originale, les costumes et la mise en scène sont si grandiloquents qu’on ne peut que s’immerger dans cette aventure fantastique ! Ici, nos camarades auraient succombé fissa si les Mandaloriennes du Clan Kryze ne les avaient pas secouru ! La séquence où elles interviennent sur le bateau des poulpes est, à ce titre, particulièrement satisfaisante. De ce que j’ai cru comprendre, leur cheffe, Bo-Katan, est une protagoniste connue et appréciée du Star Wars Universe. Déterminée à reprendre le contrôle de sa planète natale, Mandalore. Autrefois envahie par l’Empire lors de la Grande Purge. Manifestement, Bo-Katan compte tuer Moff Gideon, cet ancien général impérial aperçu à la fin de la S01, avant de reprendre le Sabre Noir dont il est l’actuel détenteur. Quel programme ! Allez, la suite ! Cap sur Corvus, la Planète Forestière ! Il me tarde de rencontrer la jedi Ahsoka Tano…
