« Je ne changerai pas d’école ! » réaffirme Manta alors que sa mère, légitimement inquiète, lui enjoint le contraire. « Je me suis retrouvé au beau milieu d’un combat de gang ! ». « Tu n’écoutes pas ce que je te dis, Manta ! ». « Sa dévotion en fait une vraie tête de mule ! » ajoute sa petite soeur, Manko Oyamada. « Il a un meilleur ami avec qui il traine tout le temps ! Il sèche même l’école avec lui ! ». « Tu… t’es fait un ami? ». « Et bien… ». « Asakura Yoh… » débarque le paternel. « Garçon provenant de la ville d’Izumo et réputé pour sécher l’école dès qu’il en a l’occasion ». « Papa ?! ». « Il vit actuellement avec sa fiancée… Quel ami troublant tu t’es fait là, mon fils ». « Tu fais erreur ! Yoh n’est pas… » *Slap*. « Je t’ai inscrit à une fac américaine… » lui annonce Mansumi après l’avoir giflé. « Tu partiras aussitôt que tu te seras remis ! Car tu es l’héritier de l’industrie Oyamada ».
J’avais oublié que Ryu-san comptait voyager aux US en vue de devenir un chef sushi réputé, ahaha. Le destin en aura décidé autrement ! Après tout, la place de Ryuu et Manta est auprès de Yoh ! Sans eux et leur dévotion, notre héros ne parviendra jamais à devenir le Shaman King ! Mis à part ça, j’ai apprécié ce focus sur Manta et le fait qu’il ne soit jamais amusé avant d’avoir connu Yoh. La pression que lui imposent ses parents, réussir ses études, prendre la direction de l’industrie familiale, occulte totalement sa persona et ses rêves personnels. De fait, Manta n’avait jamais réfléchi à ses aspirations. À force d’être conditionné par la volonté de ses parents. Heureusement que l’esprit de liberté et d’entrepreneuriat de Ryuu lui a permis de se remettre sur les rails !
Les facéties de Ponchi et Conchi, esprits pervers de la petite Tamao, divinatrice éprise de Yoh, ont bien failli tout gâcher ! Heureusement, l’amitié est plus forte que tout ! Et maintenant que Yoh a parfait sa maitrise du furyoku, tout est prêt pour la revanche contre Ren ! Cet over soul, bien plus puissant que l’ancien, devrait ferme une bonne fois pour toute la bouche du prince autoproclamé ! Allez, la suite !
