« Sous aucun prétexte n’êtes-vous autorisés à les combattre ! » ordonne Basil Hawkins à ses hommes. « Retenez-les et attendez que j’arrive ! ». Mais comment les retenir autrement qu’en allant au contact ? D’autant plus que Zoro, Okiku et Luffy sont déterminés à récupérer la petite Otama ! « Tsk ! Pourvu que j’arrive à temps !!! ». Pendant ce temps, dans la Plantation du Paradis juchée à l’extrémité nord de Bakura, Lady Speed s’assure que les récoltes arrivent à bon port. Des fruits regorgeant de vitamines ! De la viande charnue ! Des légumes frais ! Des oeufs à la blancheur immaculée ! Quel contraste avec Okobore. Le plus révoltant étant que les employés de la ferme affectés à la culture des denrées sont payés une misère. Même pas de quoi nourrir leur famille pour une semaine. « Quand est-ce que cela changera ?! » se lamente un homme. Peut-être plus tôt qu’il ne le pense. […] « Toi… » maugrée Holdem alors que Luffy se retrouve enfin face à lui. « Ce que tu as fait est impardonnable !!! ». « L’hôpital qui se fout de la charité.
Ce rythme lent est hallucinant. J’en viens à me demander s’il ne serait pas préférable d’arrêter les reviews à quelques exceptions près. Autrement-dit —> Me bouger la plume lorsque la réalisation, le rythme et l’âme sont au rendez-vous. Je pense que je vais procéder ainsi. Arrivant à saturation. Bien joué, la Toei ! Même la nouvelle direction artistique de Wano n’aura pas suffit à éroder mon ennui. Enfin ! La Plantation du Paradis a effectivement tout d’un paradis ! J’imagine que ces victuailles sont avant tout réservées aux sous-fifres de Kaido et Orochi. Le reste est ensuite distribué aux fonctionnaires et pirates de la Capitale Florale. Puis Bakura et ses environs. Quant aux miettes, on sait déjà qu’elles vont à Okobore. D’où une famine incessante à l’origine de nombreuses tragédies. Je suis persuadé que Luffy va dérober le gros sac du jour à Lady Speed en vue de le distribuer aux plus nécessiteux ! D’ici deux/trois épisodes, probablement. Ha…
