« Le cinquième Yonkou, hein… » constate, non sans une pointe d’admiration, l’amiral Kizaru. « Je croyais t’avoir dit de foutre le camp ! » s’agace Sakuzuki. Il faut dire que ce nouveau titre ne fait pas les affaires de New Marine Ford. Il y a deux ans de ça, le Chien Rouge dit Akainu avait déjà décelé en Luffy un potentiel inquiétant. Lui qui avait déclenché la première évasion de masse à Impel Down, prison « imprenable » des sept mers. Avant de débarquer à Marine Ford et tenter de sauver son grand frère, Ace. Si ce dernier n’était pas intervenu, Luffy ne serait plus à l’heure qu’il est. Ce jour-là, la mort de Ace, suivie de celle de Barbe Blanche, loin de clore L’Ère Pirate, en ouvrit une nouvelle plus intense encore. La Génération Terrible n’eut de cesse de faire parler d’elle au cours des deux dernières années. « Et nous voilà rendus à aujourd’hui… » réalise Sakazuki. « Avec ce démon que je ne suis pas parvenu à achever décrochant un titre de Yonkou !!! ». Qu’importe. S’il y a bien une chose dont le Chien Rouge est certain, c’est qu’il tuera pour de bon Chapeau de Paille dès que l’occasion se présentera de nouveau à lui.
Encore un épisode constitué à 75% de flashbacks et 25% de contenu original. Manifestement, le mini-arc de la Rêverie devrait appliquer cette règle jusqu’au bout. Las. S’il ne s’agissait que d’épisodes flashback/HS, j’aurais volontiers fait l’impasse mais ici, en l’occurence, c’est impossible ! Heureusement que l’arrivée du Royaume Ryokugyu à Red Port (l’entrée vers Mary Geoise) est réussie. Avec la sublime princesse Shiraoshi qui se fait violence en surmontant sa timidité. N’omettons pas la discussion des deux amiraux, Ryokugyu et Fujitora, qui dégustent tranquillement leurs nouilles à Mary Geoise, ahah. Alors que le Chien Rouge avait explicitement ordonné à Ryokugyu de l’expulser. Il faut dire que Fujitora est un sacré morceau ! On apprend d’ailleurs que son ami, le scientifique de renom Vegapunk, aurait achevé une trouvaille qui permettrait de se débarrasser des Capitaines Corsaires. Vivement qu’on en sache plus…
6,5/10
