Un bon chapitre-focus sur Zeldris. Quand bien même celui-ci est particulièrement triste. Mis à part sa seule et unique période de lumière aux cotés de Gelda, Zeldris n’a fait qu’être malheureux. Son père ? Dès sa naissance, celui-ci s’est arrangé pour contrôler ses moindres faits et gestes afin qu’ils épousent ses ambitions personnelles. Meliodas ? Lui-aussi contrôlé par leur père, le rôle de grand frère qui lui incombait n’a jamais été assumé lorsque Zeldris en avait le plus besoin. Chaque fois que celui-ci a souhaité avoir une conversation, Meliodas l’a envoyé paitre encore et encore. En faisant preuve d’une froideur indigne. Malgré tout, Zeldris a fini par connaitre l’amour mais, très vite, ce bonheur lui fut enlevé du fait de la rébellion du peuple vampire contre le Roi Démon. Meliodas fuira ensuite avec Elizabeth et ce sera à Zeldris de prendre sa place d’héritier. Persuadé que Gilda n’est plus. S’ensuivront 3000 années de prison suite au sceau des Déesses.
Après avoir de nouveau obéi à son père car persuadé de devenir le futur Roi Démon, Zeldris finira par apprendre que Meliodas lui est toujours préféré. Même après ses multiples trahisons. Ce n’est qu’après avoir appris que Gelda est en vie qu’il finira par jouer un double jeu avant de se faire manipuler par un Roi Démon ayant pris possession de son corps. Désormais, sa présence menace de s’éteindre pour de bon. Ça serait sympa que Gelda fasse son apparition ! Maintenant qu’elle a été libérée par Meliodas. Pour l’heure, Zeldris est persuadé que la seule Gelda « vivante » est cette illusion crée par le DK. Suivre les règles jusqu’au bout, tenter de faire de son mieux et finir avec rien —> Voilà la vie de Zeldris. Si Gelda ne parvient pas à intervenir à temps, qui pourrait sauver le prince ? Escanor ? Ou bien Gowther dont les pouvoirs de contrôle des esprits tomberaient à pic ? Vite, la suite !
