« Bien… » commence Faustus Blackwood. « Vous devez avoir des questions, j’imagine ? » demande t-il à Sabrina. « Sur votre baptême ou autre ? ». « En effet… » répond l’intéressée. « Mais je ne sais pas par où commencer ! ». « Permets-moi de commencer à ta place » se propose le Grand Prêtre de L’Église de Nuit. « Le baptême d’une sorcière est notre sacrement le plus sacré ! Le plus vieux de nos rites ! Et le livre de notre Sombre Seigneur, le Livre de la Bête, est le plus ancien ouvrage qui existe sur cette planète ». « À ce sujet… » l’interrompt Mlle Spellman. « Si je signe mon nom dans Le Livre de la Bête, cela signifie t-il que je donne mon âme au Sombre Seigneur ? ». « C’est une interprétation… » répond Faustus. « Disons qu’il s’agit d’un geste symbolique. Comme les rituels dans la plupart des religions ! ». « Cela signifie t-il qu’il pourra me demander de faire certaines choses ? » continue de s’interroger Sabrina. « Disons que votre signature fait office d’engagement ! Un engagement à respecter les 13 Commandements ». Pour autant, le Libre Arbitre constitue le socle sur lequel L’Église de la Nuit est construite. « Si tu n’apprécies pas l’Académie D’Arts Invisibles, libre à toi de la quitter et de devenir une mortelle pour de bon ». Hm…
J’adore les mimiques et le style de Ambrose, ahah. Puis sa manie de blaguer sans blaguer… Probablement l’un de mes personnages favoris ! D’ailleurs, on y vient —> Les protagonistes commencent à s’émanciper et la série prend de l’étoffe ! D’où un attachement à l’intrigue qui n’était pas évident lors du premier épisode. Qui plus est, l’ambiance Old School et estudiantine des années 70 sied Greendale à merveille ! Sans omettre la dimension macabre et satanique qui semble déranger les âmes les plus sensibles huhu. Hâte de voir ce que nous réserve la métisse sorcière-mortelle ! Il est temps de rénover les règles poussiéreuses du Lycée Baxter ! À commencer par cette misogynie ambiante et oppressive. Et pourquoi le Dark Lord veut-il tant que Sabrina signe ce fichu Livre de la Bête ? On dirait un vieux gâteux vexé de s’être vu refusé son invitation ! Grandis un peu, Satan !