« Sergio… » susurre le plus doucement possible Andrès à l’attention de son petit frère. « Tu as encore étudié tard, n’est-ce pas ? ». Il est l’heure de descendre manger ! « Ho ! Et Tatiana est là » annonce Andrès. Soit la « plus belle femme du monde » selon Berlin. Pianiste concertiste dans l’un des plus prestigieux orchestres du monde ! Schumann, Chopin, Bach… Une soliste parmi les plus douées de sa génération. « Elle a des doigts divins » ajoute Berlin. « Pour le piano… » complète Palerme. « Et le vol ». Et l’idée du braquage de la Banque D’Espagne l’enchante. « Hm… » se contente de répondre Sergio. « On peut discuter une minute en privé, Andrès ? ». […] « T’es devenu fou ?! » s’énerve t-il. « Qu’arrivera t-il lorsqu’ils offriront des millions en échange d’informations susceptibles de nous coffrer ? ». La « plus belle femme du monde » dont s’est épris Andrès finira par le trahir pour l’argent. Tout comme les quatre précédentes femmes du joli coeur. « L’Amour ne se mesure pas, Sergio… » réplique Andrès. « L’Amour se vit ».
C’est fou que le colonel Alfonso Prieto soit devenu impuissant à cause de son échec eu égard au casse de la Maison de la Monnaie. Il prend ça bien trop à coeur, ahah. Enfin ! Maintenant que l’épisode 06 est terminé, je dois admettre que cette S03 ne m’emballe pas plus que ça. Probablement la saison de trop même si j’ai ouï-dire que la fin donnait envie de voir la suite. Le fait est que je n’arrive pas à m’immerger dans l’intrigue et à m’attacher aux différents personnages. Assister à la libération de Rio ne m’a pas enthousiasmé plus que ça. De même que l’aide inespérée de paysans à l’attention de Sergio et Lisbonne. Le rythme est cadencé mais l’intensité manque au rendez-vous. Seule l’introduction de cette Tatiana, pianiste et voleuse d’exception, attire mon attention. Il me semble que Berlin la mentionne à la S01. Comme quoi elle fut la cinquième et dernière femme à lui asséner un « coup de poignard dans le dos ». Anéantissant pour de bon sa théorie comme quoi l’Amour ne se mesure pas mais se vit. Je suis persuadé que nous allons revoir la soliste d’ici le peu…
