Le gouverneur étant dans l’impossibilité d’ouvrir le sas du coffre fort (merci Rio), Bogotà n’a eu d’autre choix que de tout faire exploser au C4. « Il va mieux » souffle Nairobi. Dans le cas contraire, Rio et l’ensemble de l’équipe auraient dû composer avec un mort sur la conscience. Du coté du Colonel Luis Tamayo, celui-ci vient de lancer l’assaut policier. « Mettez les masques ! » ordonne Stockholm (Mónica) à l’ensemble des otages. Pendant que Helsinki prépare la sulfateuse et que les hélicoptères s’apprêtent à effectuer une descente. « Tout le monde dehors ! » crie Tokyo. « Plus vite que ça ! Allez !!! ». Objectif —> Mettre en embuscade les otages sur les balcons et leur faire mettre en joue l’ensemble des forces de l’ordre. Ensuite ? Ouvrir les portes principales et « lever le drapeau blanc ». À la base, ce rôle aurait dû échoir aux gardes du corps du gouverneur. Mais ces derniers ayant refusé, Rio a dû s’y coller. Pour autant, rien n’est perdu —> Les valises rouges du sas contenant les plus grands secrets du ministère de l’Intérieur, des Affaires Étrangères et du Renseignement ! Autrement-dit —> La monnaie d’échange la plus parfaite qui soi.
Helsinki est déjà tombé amoureux de Palerme ?! Haaa ! Ce n’est pas parce que tu es un nounours qu’il faut avoir un tel coeur d’artichaut ! En particulier lorsqu’on participe au plus grand casse qui soit. Bref ! Cette Alicia Sierra est bonne, très bonne. En l’espace de deux minutes, elle est parvenue à insuffler la terreur dans l’esprit de Martìn en lui indiquant que si sa mère et sa fille étaient retrouvé(e)s, les prisons d’Asie du Sud les traumatiseraient à vie. Si ce n’est pire. Résultat —> Le Professeur et sa douce ont eu leur première grosse dispute. Lisbonne reprochant au Professeur de s’être laissé manipulé. Le Professeur reprochant à Lisbonne d’avoir été ciblée parce qu’elle est le maillon faible de la bande. Aouch ! J’ai beaucoup aimé cet épisode chargé en tension. Entre l’arrivée de Sierra et le point d’orgue Palerme v Nairobi où celle-ci lui assène un échec et mat d’une violence ahurissante, il y a de quoi oublier la monnaie d’échange. Palerme, ce macho de service qui prétend « n’aimer personne ». Lui qui, durant plus de dix années, n’a jamais osé dire à Berlin combien il l’aimait. Or, maintenant qu’il est trop tard, le voilà à déverser sa souffrance à travers la violence et les mêmes propos crasses que son idole adorait tenir. Je comprends mieux pourquoi il me fait penser à un sous-Berlin. Palerme, à travers son amour pour Berlin, en est venu à renier sa propre identité. La seule monnaie d’échange valable qu’ait l’humanité est et restera l’amour envers nos proches.