Kimetsu no Yaiba 09 : Balle Au Meurtrier
« Tu vas donc les tuer de cette façon ? » s’interroge Yahaba. « De tout mon coeur !!! » répond Susamaru en lançant de toutes ses forces, deux temari faits d’un caoutchouc particulièrement solide. « Il semblerait que le pourfendeur de démon soit accompagné d’un des nôtres » réalise Yahaba. Étrange. « Bref… » abrège le jeune homme aux yeux clos. « Tu as mis de la poussière sur mon kimono ! Fais gaffe !!! ». « Arrête de te plaindre… » réplique Susamaru. « On les a trouvé grâce à mes temari et c’est tout ce qui importe ! ». Il ne reste plus qu’à tuer tout le monde. Et ça commence par Yoshiro qui, pensant avoir prévu la trajectoire d’un temari, a eu la surprise de le voir dévier d’un coup et se diriger droit vers sa tête. « Un de moins ! » annonce avec joie la jeune femme. « Leur odeur est si forte… » réalise de son coté Tanjiro. « Si je me déconcentre ne serait-ce qu’un instant, je suis foutu ! ». Quant à Tamayo, celle-ci ne fuira pas. « Il ne nous arrivera rien… » affirme t-elle à Tanjiro. « Après tout, nous sommes des démons ».
Damn ! Tanjiro est déjà parvenu à vaincre Yahaba ?! Sachant que lui et Susamaru font partie des Douze Lunes Démoniaques de Muzan Kibutsuji. Ce n’est pas rien ! Ceci-dit, l’entrainement de notre héros a été si intense qu’une victoire de sa part ne m’apparaitrait pas saugrenue. D’autant plus que Yoshiro a fait en sorte de partager son acuité visuelle avec Tanjiro. Si la troupe parvient à extraire du sang de ces Lunes Démoniaques, il est probable que la docteure Tamayo puisse avancer drastiquement dans ses recherches ! D’ailleurs, celle-ci est connue de l’organisation en tant que « Tamayo la fugitive ». Il est probable que la belle ait fui l’emprise de Muzan après avoir réalisé combien celui-ci était mauvais. Ce qui me surprend, c’est de voir à quel point son humanité a subsisté malgré la transformation. Y aurait-il des conditions à remplir ? Ou serait-ce une affaire de génétique ? Allez, la suite ! Il est temps de clore cette partie de balle au meurtrier.