« Si vous deviez manger de la chair humaine… » s’interroge le plus naturellement du monde Mista alors que celui-ci dine en compagnie de Abbacchio, Mista et Fugo. « Ça vous plairait ou pas ? À votre avis ? ». À l’extérieur de la fenêtre, un oiseau finit par s’envoler et, au bout d’un certain temps, rejoint les environs du Colisée de Rome. Là où Giorno Giovanna est en train d’infliger à Diavolo, boss de Passione, son ultime défaite. « Muda ! Muda ! Muda ! Muda ! Muda !!! » décoche sans s’arrêter Golden Wind ou plutôt Golden Wind Requiem. Maintenant que la Flèche l’a touché et que Giorno est parvenu à l’assimiler. Il ne reste plus qu’à mettre la main sur Diavolo qui, avec la dernière attaque, est tombé droit dans le Tibre. Mais celui-ci n’a pas dit son dernier mot. « Je dois… m’échapper ». À ce moment-là, Diavolo était loin de se douter que le karma le rattraperait à vitesse grand V. À peine réfugié dans un égout qu’un coup de couteau l’attend au tournant. Des mains d’un junkie sous l’emprise de la drogue qui fit sa fortune. « Non… Pas comme ça ! Pas comme ça !!! ».
La capacité de Golden Wind Requiem est effrayante au possible —> Une fin sans fin et, en ce qui concerne Diavolo, des tourments éternels qui lui feront vivre sa mort d’une infinité de manières différentes. L’Enfer, en somme. Ceci-dit, et pour tout le mal qu’il a fait, difficile de s’émouvoir. Reste à comprendre pourquoi Golden Wind ne s’est pas terminé ! Maintenant que le nemesis de l’arc est « mort », pourquoi enchainer sur cette intrigue de jeune femme tuée par un sculpteur démoniaque ? J’ai du mal à faire le lien. Je ne me souviens même plus d’une telle scène dans le manga, ahah. Mais ça date de tellement longtemps… Allez, la suite ! Je fais entièrement confiance à Hirohiko Araki pour nous délivrer une fin Jojoesque ! Le seul souvenir qu’il me reste quant au manga est une incompréhension aussi profonde que relative. Mais l’anime devrait être plus clair ! J’espère…