Tout a commencé par une promesse séculaire. Histoire éternelle oubliée de tous à l’exception des héritières du péché originel. « Si je vous hait tant… » aurait voulu dire Akito. « C’est parce qu’il n’y a que de cette façon que vous ne m’abandonnerez pas ». […] « Akito… est une fille ? ». Tohru Honda n’en revient pas et pourtant, c’est bien ce que Kureno-san vient de lui apprendre. « Il s’agit du plus grand secret du clan Toma » poursuit celui qui est parvenu à briser un lien censé être indestructible. Comment une femme en est-elle venue à se comporter comme un homme ? Si c’était par choix, Tohru aurait pu comprendre mais il ne s’agit pas de ça vu le comportement d’Akito à l’encontre de ses pairs. « Elle a été élevée en tant qu’homme dès sa naissance… » révèle Kureno. « Cela en vertu de l’influence d’une régente de l’ombre ». Ren Soma. « La mère d’Akito ».
Couvez un enfant dans la haine et le mépris, vous en ferez un « monstre ». Reste à savoir pourquoi Ren Soma a agi ainsi. Et qui est cet Akira que se disputent les deux femmes ? Pourquoi cette haine d’une mère envers sa fille ? Il n’empêche, c’est à cause de ce malstrom de souffrance que Kureno refuse d’être heureux. « En restant auprès de cette fille qui pleure et qui souffre, j’ai choisi de dire adieu à ma liberté ». Pas étonnant que Tohru se retrouve dépourvue face à une histoire éternelle dénuée de happy ending. J’ai trouvé touchant que Hanajima ait entendu sa « voix ». Celle d’une éponge à sentiments trop absorbante pour son propre bien. « Si tu continues à faire passer les autres avant toi… » tente de la prévenir son amie. « Si tu continues à porter leur douleur sur tes épaules, tu finiras par te faire écraser ». Voilà pourquoi avoir toute la bonne volonté du monde n’est pas toujours avisé. Heureusement pour Tohru, celle-ci est entourée des bonnes personnes ! De vraies amies prêtes à agir fermement s’il le faut. Allez, la suite ! Cette troisième et ultime saison s’annonce particulièrement chargée !