21 juin 1921 : Deux hommes s’affairent à creuser un trou. « Tu ne t’es jamais demandé si le paradis et l’enfer ne faisaient qu’un ? » s’interroge le premier. « Adam avait raison… » répond le second. « Tu as perdu la foi ! ». Ainsi le moment est-il venu. « Quand tu cesseras à ton tour de croire à ce que t’as raconté Adam… » lui indique le futur banni. « Demande-lui pourquoi il t’a accueilli et pourquoi il t’a baptisé Noah ». […] 27 juin 2020 : Le début du dernier cycle peut commencer. […] « Ne l’oublie pas… » intime Jonas à Martha après lui avoir fait l’amour. « Nous serons toujours fait l’un pour l’autre ». C’est à cet instant que Jonas se réveilla en sursaut. Nous sommes le 21 juin 2052. L’Amour est-il plus fort que les liens du sang ? Si tel est le cas, Jonas pourrait mieux comprendre le pourquoi de ces rêves incessants. « Moi en toi. Toi en moi. Nous-deux ne formant qu’un ». Que la contemplation de l’abîme démarre.
Après avoir consulté trois récaps différentes de la S01, je me suis fait une raison —> Je ne comprendrai jamais complètement l’intrigue de Dark, ahah. J’espère au moins avoir saisi les grandes lignes ! Ici, en l’occurence, Jonas fait ce qu’il peut pour tenter d’éviter l’explosion de la centrale nucléaire de Winden. Laquelle devrait avoir lieu le 27 juin 2020 sachant qu’il se trouve actuellement dans le futur (21 juin 2052). Détail qui a son importance —> La cheffe des lieux est la petite Elisabeth, fille de Peter et Charlotte Doppler. Comment s’est-elle retrouvée dans une telle position ? Et pourquoi toutes ces cicatrices ? Nous le saurons en temps et en heure. Demeure une question centrale —> La contemplation de l’abîme, aussi profonde qu’elle soit, n’est-elle pas vouée à l’échec lorsqu’on entend changer le cours des choses ? Ici, à la fin de l’épisode, Jonas tombe nez à nez avec un trou de verre dans la centrale. Lequel, j’imagine, pourrait lui permettre de traverser à nouveau le temps ? Mais pour quoi faire ? Pour peu que le futur façonne le passé et vice-versa, rien de ce qu’il s’est passé jusqu’en 2052 ne changera d’un iota. Ainsi va le destin. Immuable et inéluctable.
