Lentement mais sûrement, Himawari confectionne le vase à fleurs qu’elle entend offrir à sa maman. « Tu fais quoi, Hima ? » s’interroge ce benêt de Boruto. « Ne me parle pas ! » lui intime la petite soeur. « Je fais quelque chose de très important ! ». « Heu, désolé… ». Ça y est ! Les motifs de tournesol sont tous réalisés ! « Alors ? » demande Himawari. « Tu penses quoi de mon vase ? ». « C’est pour qui ? ». « Bah, Maman, pardi ! ». « Haaaa, mais oui ! C’est bientôt son anniversaire ! ». Quelle tête de linotte ! Contrairement à lui, Himawari a le coeur sur la main en toutes circonstances… […] « C’est étrange… » ne peut s’empêcher de noter Mitsuki alors que Sarada vient de leur annoncer la nouvelle au Thunder Burger. « Accepter une mission sans être accompagné(e)s par Konohamaru-sensei ? ». « Il a dit que c’était quelque chose d’urgent et qu’il devait quitter le village dès aujourd’hui » précise Boruto. Enfin… Il est temps de partir en quête d’un cadeau ! « Des fleurs, peut-être ? ». Tant qu’il trouve la bonne confection et les bonnes espèces, ça pourrait le faire !
Ahahah, je ne m’attendais pas à ce que Mugino soit un aussi mauvais payeur ! Ça lui ajoute un coté touchant. La gestion de ses finances doit être catastrophique pour qu’il se fasse payer à l’oeil par Boruto ! Le Mugino en mission et le Mugino en civil sont deux personnes totalement différentes… En revanche, ça m’a fait mal au coeur de voir qu’il habite un appartement aussi délabré. Puis cette admiration qu’il a pour Hiruzen Sarutobi, le troisième Hokage ! Au départ, lorsqu’il n’était qu’un enfant, des personnes mal intentionnées l’avaient capturé en vue de le contraindre à assassiner Sarutobi. Cela tandis qu’il rendait visite à un camp pour réfugié(e)s. Bien sûr, il échoua dans son entreprise mais Hiruzen le pardonna derechef. S’excusant au nom de tous ces adultes ayant délivré à leurs enfants un monde aussi cruel. Des années plus tard, nous pouvons affirmer que Mugino, tout comme Sarutobi, a le coeur sur la main. N’hésitant pas à dépenser le reste de sa paye en vue d’aider un enfant dans le besoin. « Qu’il s’agisse d’un mensonge ou d’une vérité, je continuerai de croire un enfant. Telle est notre responsabilité en tant qu’adulte ». Allez, la suite !
