Bâtisse Hyūga : Hanabi fait part à sa cousine d’une idée particulièrement sympathique. « Une fête d’anniversaire ici même ? » s’interroge Hinata. « Oui ! Papa n’a pas vu les enfants depuis un moment ! Ça lui fera plaisir ! Puis tu sais qu’il se sent seul en ce moment… ». « Haha, les regrets du passé ! C’est vrai que Boruto n’est pas venu au camping avec nous la dernière fois ». « Voilà pourquoi je compte sur toi, grande soeur ! » […] « Je vais faire en sorte d’être libre » annonce Naruto alors que lui, Hinata, Himawara et Boruto déjeunent. « J’ai hâte de voir grand-père ! » s’exclame Himawari. « J’avais totalement oublié, hehe ! » admet de son coté Boruto. « Bref… » résume Hinata. « Faites en sorte de lui trouver un cadeau d’anniversaire qui lui fasse plaisir ». […] « Aidez-moi à trouver un cadeau pour mon grand-père !!! » supplie Boruto. « Tu devrais savoir ce qu’il lui plait… » lui reproche Sarada. « C’est n’importe quoi ! ». « S’il vous plaiiiit !!! ».
« Avoir recours au pouvoir et à la peur pour résoudre des problèmes ne fait qu’empirer les choses jusqu’au point de non retour ». Hiashi Hyūga l’a appris dans sa chair avec les pertes de son frère, Hizashi, et de son neveu, Neji. Si les traditions cruelles du passé en vue de préserver le Byakugan, n’avaient pas condamné la Bunke à se sacrifier pour la branche principale, la Sôke, nous n’en serions pas là aujourd’hui. Bref ! Évidemment qu’un épisode centré sur les regrets du passé de Hiashi Hyūga allait me faire monter les larmes ! Même aujourd’hui, la mort de Neji ne cesse de m’affecter. Je ne saurais expliquer pourquoi mais son aura et son évolution m’ont particulièrement marqué. Au point d’en faire mon personnage préféré de Naruto malgré un traitement scandaleux lors de la partie Shippuden. Voir que Hiashi a changé eu égard à ces tragédies est émouvant. Et je ne peux me résoudre à lui en vouloir quand je vois à quel point il aime Himawari et Boruto. Parfois, la rédemption est possible. Quand bien même celle-ci s’accompagne parfois de tragédies duquel on ne se relève jamais totalement.
