Qui aurait pensé que Tosaka-san était un espion du Pays de la Rivière ? « Pourquoi ? » lui demande Boruto alors que lui et Sugetsu peinent à rester éveillés. Après que le traitre leur ait injecté un tranquillisant prélevé à partir de celui d’Orochimaru. Du coté de Sarada et Karin, leur tactique de diversion n’a pas fonctionné comme prévu et l’un des deux shinobi est reparti dans l’autre sens. « Vous êtes ma proie ! » déclare la jeune femme. Quant à Sumire, celle-ci est résolue à affronter ce garçon doté du sceau du démon. « J’ai pour regret de vous informer que vos amis ne viendront pas vous sauver » déclare Tosaka à l’égard de Suigetsu et Boruto. « Non ! Mitsuki est forcément parvenu à secourir Konohamaru ! » se dit Boruto. « C’est le plus capable d’entre nous ». « Le sceau maudit de Juugo est l’original… » poursuit Tosaka. « Une extrême rareté en ce bas-monde ! Un potentiel infini en tant que cobaye ! ». Son rêve —> Créer une arme biologique à partir du génome de Juugo. « Infecter ces oiseaux se sera révélé judicieux, au bout du compte ! N’est-ce pas, Juugo-san ? ».
Enfin ces deux gosses insipides ont-ils été vaincus ! Dommage que leur Character Building ait été aussi vain. À part être assoiffés de pouvoir brute, ils n’ont rien pour eux. Ça rend cet épisode particulièrement terne vu que la réalisation n’est pas non-plus à la hauteur. On appréciera tout de même le teamwork entre Karin X Sarada et Sumire X Wasabi X Namida X Nue ! D’ailleurs, ce dernier ne serait-il pas capable de nullifier les effets de la marque maudite ? Si cette hypothèse s’avère vérifiée, le génome de Juugo pourrait ne plus être une menace ! Il n’y aura plus qu’à foutre une branlée à ce félon de Tosaka et tout rentrer dans l’ordre. Je dois admettre que je m’attendais à mieux de cet arc Juugo… Encore quelques épisodes pour me faire changer un tant soit peu d’avis ! D’ailleurs, je me demande si Sasuke est encore capable d’activer la marque maudite ? Probablement pas vu que Itachi l’avait totalement supprimé lors de son bref affrontement avec Orochimaru. Allez, la suite !
