Emprisonner les oies est embêtant mais il faut faire avec ! En attendant de découvrir ce qui cause leurs crises de colères soudaines. « Si seulement on pouvait nous-aussi absorber les marques maudites… » regrette Boruto. La seule chose que lui et ses camarades puissent faire, c’est mettre la main sur les oies présentant des yeux rouges. Avant qu’elles ne se transforment en bêtes violentes. « Il ne nous reste plus que le nord du lac à explorer… » indique Mitsuki. « Ça et sans doute quelques oies cachées dans les buissons aux alentours ». « Occupe-toi des buissons et du rivage… » lui demande Sarada. « Je m’occupe du nord du lac. Toi, Boruto, tu restes ici ». « Hein ? Mais pourquoi ?! ». « Garde un oeil sur Juugo-san ! As-tu déjà oublié les consignes de Konohmaru-sensei ? ». « Ha… ». Sur ce, en route ! Capturer les oies aux yeux rouges. Laisser Juugo-san les déposséder. Puis les libérer à nouveau en prenant soin de les taguer au cas où il y aurait à nouveau une infection. « Faisons en sorte de tous les sauver avant leur migration » affirme, résolu, Juugo.
Le démon intérieur de Juugo est impressionnant. Pourquoi ne pense t-il qu’à tuer ? S’agit d’une personnalité distincte ou n’est-ce qu’un instinct primaire de destruction ? Quoiqu’il en soit, ces ******** du Pays de la Rivière ont bien calculé leur coup. Intercepter la Team 15. Subtiliser les antidotes de Juugo-san. Libérer les oies infectées. S’arranger pour que les villageois ne veuillent plus de l’aide de la Team 7 en révélant qu’ils ont menti au sujet de l’identité de Juugo. S’approprier les recherches et le savoir de M. Tosaka. Congédier Sarada, Boruto et Mitsuki. Konohamaru, du fait de son état, devra rester au village en attendant d’aller mieux. Ça craint… Et qui sont ces deux enfants dotés de la marque maudite ? Pourquoi infecter les autres ? Vivement plus d’informations 7 Heureusement que Sumire est parvenue à s’échapper. On appréciera, comme toujours, le recours à la pâte Saguka le temps d’une confrontation entre Juugo et la Team 7 ! Ça fait toujours plaisir.
