« Par pitié ! Ne nous tuez pas !!! ». *Pan ! Pan !* De pitié, le tueur n’en était pourvu d’aucune. « Quel dommage ! » soupire La Directrice présente non loin. Mais alors qu’elle explore les recoins de l’appartement, ne voilà t-il pas qu’elle tombe sur une innocente petite fille. « Viens par là ! » lui intime t-elle. Ainsi débuta la genèse d’une parfaite petite famille. […] « Ne fais confiance à personne, Lila » lui dit sa mère. « Reste toujours sur tes gardes et, surtout, souris avec sincérité ». Même lorsque ce n’est pas le cas. […] Retour à 1963 : Lila a du mal à comprendre pourquoi sa parente veut protéger Five. « Tu as été rétrogradée par sa faute ! ». « Certes… Mais il a plus de valeur vivant ! Si tu veux tuer quelqu’un, tue Diego ! ». « Nahhh ». « Comme tu veux ». « Ha ! Et quand je me suis échappée de l’asile, trois cow-boys nous ont poursuivi ! De vrais tarés ! ». « Les Suédois… ». Sur ce, il est temps de jouer la comédie. « C’est moi qui les ai envoyé ! Personne n’essaye de te tuer, ma tendre enfant ».
Pourquoi faut-il que Luther soit aussi maladroit (et malaisant) après avoir rencontré Allison ? Moi qui pensais que l’Amour simplifiait les choses… Pas toujours ! En parlant d’Amour, est-ce mal de ma part de vouloir que Lila et Diego forment un vrai couple ? Malgré la trahison sous-jacente de la folle ? Si on remonte là où tout a commencé, après tout, c’est de la faute à La Directrice ! Lila ne fait qu’obéir aux ordres de la personne qu’elle admire plus que tout au monde. Une « parfaite petite famille ». À ce sujet, Grace est de retour ! En chair et en os, cette fois-ci ! Hâte de voir comment la mère de nos sept numéros finira en ferraille. En attendant, quoi de mieux que de conclure l’épisode sur une belle scène d’action ? Puis ces musiques toujours aussi bien choisies ! En revanche, j’ai un peu de mal à accrocher à la trame de Vanya. Trop de facilités scénaristiques à mon goût ! Son histoire avec la mère d’Harlan est très belle, ceci-dit.