Dans un paysage décharné et sans vie, N°5 et Delores avancent encore et encore. « Plusieurs dizaines d’années se sont écoulées ainsi… » se rappelle Numéro 5. « Moi et Delores seuls face à l’adversité du monde ». Pas étonnant qu’une relation particulière se soit établie entre ces deux-là. « Tu te souviens de ce vieux manoir à la sortie de la ville ? » dit N°5. « Oui ? Ahaha ! Et bien, j’ai découvert que la cave à vin avait été épargnée ». Bien attentionné, le vieil homme a pensé à choper quelques bouteilles du bordeaux préféré de Delores. Mais l’intéressée semble ne pas être plus contente que cela. Au contraire, Delores a le regard sévère (du moins dans l’esprit de N°5). « Tu exagères… » s’arc-boute N°5. « Je ne bois pas tant que ça ! ». Simplement, le brave vagabond trime toute la journée ! Encore heureux qu’il ait le droit à un lot de consolation ! « C’est à ce moment que je l’ai rencontré ». La blonde platine aux lunettes de soleil. « Vous pouvez m’appeler La Directrice ».
Yes ! Il était évident que Vanya avait un super pouvoir ! Celui de « ressentir pleinement les choses » ? Ou bien a t-on affaire à un lavage de cerveaux similaire à celui de Allison ? Ce dont je suis certain —> Leonard est un sale type qui compte utiliser Vanya et ses pouvoirs pour son propre bénéfice. Il n’a d’ailleurs pas hésité à tuer Hellen, la violoniste « de première cordée », afin qu’une place se libère. Vivement qu’il crève. Je le trouve insupportable. Autrement, on appréciera l’arrivée de Kate Walsh (13 Reasons Why) dans le rôle de La Directrice. Cette Commission qu’elle dirige dispatche des agents tels que Cha-Cha & Hazel à travers différentes époques. Objectif —> Éliminer toute cible menaçant le « continuum spatio-temporel ». C’est un brin tiré par les cheveux et, typiquement, 3/4 des oeuvres qui décident d’insérer le facteur « Voyage dans le temps » dans leur écriture finissent par se casser la figure. Croisons les doigts pour que The Umbrella Academy fasse partie du quart restant !
