Maintenant que le Chasseur est devenu Protecteur, une nouvelle page se tourne. Il faut dire que dès sa rencontre avec l’Enfant, toutes les frontières sont devenues floues. Y-compris celle autour de son identité. « Je viens voir Gor Koresh… » indique t-il au garde. « Amusez-vous bien » lui répond celui-ci. Au sein de l’enceinte, un combat d’arène entre deux Gamorréens. Porcs humanoïdes réputés pour leur caractère sanguin et violent. « Ce n’est pas un endroit pour un enfant » note Gor. « Où que j’aille, il me suit ». « Hm… ». « Je dois le rendre aux siens mais pour se faire, l’aide d’autres Mandaloriens serait la bienvenue ». « Ce ne sera pas nécessaire ». Et c’est sur ces mots que Koresh donna l’ordre à ses hommes de mettre en joue le Mandalorien. « Donne-moi cette armure en beskar et nous pourrons discuter calmement ». « Je répète ma requête… » répond le Protecteur. « Dis-moi où sont les autres Mandaloriens et j’épargnerai ta vie ».
Mando qui abandonne Koresh à l’appétit vorace des chiens de rue. Damn ! Cette S02 commence de manière fort cinglante, ahah. Et quel plaisir que de revoir Bébé Yoda ! Celui qui, à lui-seul, rendit la première saison si agréable. Disney n’avait qu’à assurer le taf derrière, soit une intrigue solide doublée d’une réalisation à la hauteur du Star Wars Universe, pour faire de Mandalorian son premier et seul succès depuis un an, ahah. C’est tout de même dingue qu’ils n’aient toujours rien sorti d’aussi ambitieux depuis ! Gageons que la crise actuelle changera la donne. Bref ! La rencontre de Mando avec Cobb Vanth et cette chasse au Dragon Krayt qui s’ensuit fut des plus divertissantes ! Comme un air de Monster Hunter avec une traque qui se scinde en deux parties —> Le piège puis le choc frontal avec la bête colossale. J’ai adoré le changement de format qui passe du 16:9 au Plein Écran ! Quelle séquence de pur blockbuster d’entrée de jeu ! Pour le coup, Disney fait ce qu’il sait faire de mieux —> Du grand spectacle ! Et ça marche du tonnerre ! Allez, la suite ! Les Frontières Diurnes n’ont pas fini de nous faire rêver.
