À chaque fois qu’on me pose la question « Mais pourquoi t’as un faible pour les asiats ? », je ne sais pas quoi répondre. D’autant plus lorsque ça concerne les Eurasiennes avec lesquelles je suis encore plus désarmé. Heureusement, il me suffira désormais d’évoquer le nom de Sonoya Mizuno pour me faire comprendre. Soit LA révélation du film Ex Machina qui, à travers une seule scène de danse, est parvenue à transporter les foules. Il faut dire que sa prestation était fascinante as f*ck *o* Cette fluidité dans les mouvements, cette grâce corporel, cette beauté typiquement asiatique <3 (Edit du 25/04/20 –> LOL le fétichisme asiatique. J’espère avoir évolué un tant soit peu depuis). En un mot et un seul : wow.
Née à Tokyo en 1988 d’une mère japonaise et d’un père anglais, Sonoya Mizuno, 27 ans, a passé la majeure partie de son enfance à Somerset en Angleterre. Là-bas, elle commence à pratiquer la danse classique et parvient à être admise dans la prestigieuse académie du Royal Ballet avec laquelle elle se produit dans plusieurs ballets avant d’entamer, à 20 ans, une carrière de top modèle. C’est à partir de cet instant que, petit à petit, l’entourage de Sonoya réalise à quel point elle incarne cette facette féminine de l’Asie et ce caractère brut de l’Europe.
C’est assez difficile à décrire mais j’ai toujours trouvé que les femmes asiatiques avaient ce « petit truc » qui fait toute la différence. Un sentiment d’autant plus accru avec les Eurasiennes qui, à travers le métissage Orient/Occident, offrent parfois le meilleur de ces deux mondes. Et il suffit de jeter un oeil à Sonoya pour comprendre à quel point ce constat est vérifiable. En espérant ne jamais tomber sur elle car je tomberai très probablement amoureux. Pas sur que mes femmes Jennifer Lawrence et Emilia Clarke apprécient >__<