Tout allait pour le mieux : Ted et Tamy-Lynn venaient de se marier et passaient leurs journées à copuler/fumer de la beuh/copuler/fumer de la beuh. Et puis tout est parti en couilles. Ted trouve que Tamy dépense trop d’argent en « fringues de p*tes » et Tamy trouve que Ted dépense trop de temps en fumette. Bref, si rien n’est fait pour arranger les choses, le divorce ne va pas tarder à devenir une réalité. Et alors que Ted se morfond de dépit, sa collègue caissière lui dévoile le tips ULTIME pour relancer (temporairement) un mariage défaillant : avoir un gosse ! Yeahhhhhhhh \o/
Une suite nettement meilleure que l’original : c’est suffisamment rare pour le souligner ! Premier bon point : l’intrigue est vraiment intéressante dans la mesure où le focus est mis sur la bataille de Ted à prouver son existence légale en tant qu’être humain et non en tant que simple bien meuble. Ou comment approfondir une comédie en faisant la part belle aux émotions et la douleur de Ted de ne pas être considéré comme un être vivant aux yeux de la justice. Un peu de respect bordel. Snif.
Mais surtout, ce qui distingue Ted 2 de sa suite est le fait que ses gags touchent juste du début à la fin. Alors que le premier faisait état de quelques baisses de rythme, on ne s’ennuie ici jamais malgré les 1h55 de pellicule. Qui plus est, certains passages vous feront VRAIMENT rire. Qu’il s’agisse de la grossièreté naturelle de Ted ou de l’autisme gentillet de John (Mark Wahlberg). Et, mine de rien, ça fait plaisir d’avoir un humour aussi irrévérencieux et qui ose bousculer un peu les interdits :3 À voir sans hésitation les amis !