Après 6 mois d’attente (bravo Kana), le tome 55 est enfin arrivé chez nous. Et quel tome puisque celui-ci introduit la 4ème grande guerre Ninja avec, en guise d’introduction, la mise en avant des escadrons de Kankuro et Kakashi.
Il était temps que la guerre arrive quand même depuis la déclaration de Papy Madara (tome 49) ! Décliné en trois partie, le début du tome se concentre sur les préparatifs de la guerre avec notamment une explication plutôt claire des stratégies et tactiques élaborées contre l’ennemi.
Pour ma part ce que j’en retiens c’est surtout le discours de Gaara ! Éloquent, franc et terriblement entraînant ! J’ai particulier apprécié le fait qu’il assume son immaturité du fait de son jeune âge et livre sa tête à la fin de la guerre à quiconque lui garderait rancœur (n’oublions pas qu’avant d’être une alliance tout ces pays étaient ennemis).
Oui c’est vrai que ce discours à un certain impact et ouvre bien la 4ème guerre. J’ai d’ailleurs en image la dispersion épique de tout les escadrons quand vient le moment d’affronter l’ennemi. Le premier combat majeur oppose ainsi les deux troupes d’embuscade mené d’un côté par Kankuro/Sai/Kamui et de l’autre par Deidara /Sasori et Dan (le grand frère de Sai).
Premier combat, premier mort du côté des gentils. Ça démarre fort ! On aurait tout de même aimé que ça dure plus longtemps et que l’ennemi ne soit pas autant tourné en ridicule (même si le manque de cohésion et de modestie du fait de leur immortalité était évident). Ça fait un peu bâclé et c’est d’autant plus dommage vu la prestance des ennemis.
Le deuxième combat s’attarde quant à lui sur le combat opposant l’équipe Kakashi à celle des sept épéistes de Kiri. Escarmouches de haute volée vu le niveau des opposants avec entre autres des retrouvailles nostalgiques entre Kakashi et Zabuza/Haku. Le combat n’est d’ailleurs pas terminé que s’en profile un autre opposant la troupe de Gaara au deuxième Tsuchikage ! Ça va vite donc. Tellement vite qu’on en vient à espérer que les combats ne soient pas tous bouclés à la vite. En attendant, la lecture reste savoureuse et c’est déjà ça de gagné !