« Il faut qu’on parle ». Voilà les mots adresséS par Leslie à son homme après qu’il eut mis leurs deux vies en danger. Tout ça pour les beaux yeux de Barbara et alors même qu’elle lui avait intimé de ne pas tomber dans son piège. Pendant ce temps, Tabitha cherche à rebondir suite à l’arrestation surprise de son cher frère Theo Galavan. « Hors de question que notre vengeance s’arrête ici ! ». Et Tabitha compte s’y remettre très vite…avec l’assassinat de Jim Gordon.
C’est quand même bien naze la manière dont rencontrent E.Nygma et Cobblepot ._. « Le destin » : sérieusement, vous allez justifier ce cliffhanger moisi en invoquant « Le destin » ? Ridicule. Anyway, l’association des Tueurs Pros VS Gordon/Barnes permet de maintenir cet épisode à flots. D’autant plus que je suis assez fan de l’actuel capitaine des forces de police et de son intransigeance à traduire tous les criminels en justice. Le tout sans céder à la moindre vendetta personnelle.
Dommage que la session de psychiatrie entre Nygma et Pingouin ne casse le rythme à chacun de ses passages. C’est vraiment dommage que Gotham ait un format « 23 épisodes ». Forcément, on se retrouve avec ces temps morts, ces détours narratifs, ces longueurs interminables qui ne font qu’alourdir la trame principale. Si on avait eu un format « 10/13 épisodes », peut-être que Gotham aurait pu tutoyer l’excellence d’un Daredevil. Surtout lorsqu’on assiste aux réflexions sociétales lancées par la série lorsque, ici, Gordon décide d’épargner un psychopathe alors qu’il avait la possibilité de le tuer. Une heure plus tard, celui-ci assassine l’une des officières sous sa responsabilité et qu’il venait de féliciter juste auparavant pour son excellent boulot.
