La situation est critique : le lien entre Beelzebub et Oga ayant été rompu, celui-ci n’a guère plus que sa force d’humain pour tenter de vaincre un Takamiya au top de sa forme. Mais l’espoir n’est pas perdu…car Beelzebub est encore dans la partie (`0´)/ Et, sachant que celui-ci peut transmettre sa force démoniaque à tous les valets d’Oga, l’issue du combat serait-elle en train de tourner ? Ça en a tout l’air. Seulement voilà, pour remporter la partie, il va falloir affronter Himekawa le traitre…à moins que ?!
Bon tome même si on aurait aimé une deuxième partie moins longue. Surtout lorsqu’on sait qu’il ne reste que trois tomes avant la fin de la série. Oui, Furuichi est un personnage distrayant mais passer autant de temps sur ce dernier alors que d’autres comme Tôjo ne demandent que ça, je trouve ça moyen. En parlant du Tôjo, j’ai pas mal apprécié le fait qu’il parvienne à avoir le dessus sur son adversaire…sans la marque des valets (⌐■_■) Pour l’amour de Satan, faites qu’il soit lié à En’o T_T
C’est la seule manière de le faire redevenir intéressant. Autrement, il sera condamné à jouer les seconds couteaux jusqu’à la fin et Fuji jouera le rôle du gros gros méchant. D’ailleurs, ça serait pas mal qu’on rencontre enfin le père de Beelzebub aka Satan himself. JUST SAYING. Bref, si le tome 26 ne se charge pas d’accélérer drastiquement les évènements, on risque de se retrouver avec une énième fin de série bâclée.
Ce qui est malheureusement une habitude dans les shonen >__< D’autant plus que, au Japon, Beelzebub semble avoir souffert d’un déficit de notoriété : ce qui aurait contraint Ryuhei Tamura à précipiter la fin. Qu’importe, pour le moment, ça se laisse lire et j’avoue avoir plutôt pas mal apprécié le personnage de Takamiya (ainsi que sa relation avec Lucifer). Puis c’est une bonne chose que d’avoir enfin donné de l’importance aux autres arrivistes que sont Ebian et (surtout) Akeboshi. Même si je sens que ce dernier ne va pas faire long feu au vu de l’ending imminent qui nous attend. Snif.