« Que s’est-il passé ? » demande Arata alors qu’il se réveille dans un lit d’hôpital. « Tu t’es effondré en pleine rue » répond Kei. « Tu ne t’en souviens pas ? ». « Ha oui ! J’étais avec Komiya et puis… ». « Tss ! » s’exaspère déjà Kei. « Je t’ai déjà dit de ne pas y faire appel quand je ne suis pas à tes cotés ! ». Quoiqu’il en soit, Arata sait désormais que Karina Komiya n’a rien à voir dans la mort du docteur Tsuchiya. Du coté de Kei, celui-ci a eu une réunion avec un ancien inspecteur de l’Unité 1, Kira. « Qu’as-tu appris là-bas ? ». […] Plusieurs heures en arrière : « Vous et votre ancien partenaire, Inspecteur Fuse… » rappelle Kei à Kira. « Vous enquêtiez sur une affaire de contrebande. Malheureusement, votre suspect N°1 est mort dans des circonstances non élucidées ». La dernière personne qu’il ait rencontré avant de mourir —> Koichi Azusawa. « Racontez-moi l’accident de voiture qui a coûté la vie à votre collègue et vous a grièvement blessé ». « Tout est de leur faute » susurre Kira. « La faute à qui ? ». « Aux renards ».
Komiya qui, en tant que nouvelle gouverneure du Japon, célèbre la création d’une zone dédiée aux religieux. Lesquels pourront s’adonner à tout le prosélytisme qu’ils veulent sans gêner les athées et autres non-religieux. Avons-nous là un aperçu du futur ? Une ségrégation « propre » en quelque sorte. Plutôt que d’entasser ces personnes dans des dépotoirs qui ne feraient qu’accroitre les extrémismes, on leur construit de belles résidences proprettes. Cela étant dit, ça n’a pas empêché un attentat de se produire. Risque anticipé par Komiya dont seule l’AI Holograme, Ma-Karina, était présente sur scène. Les spectatrices et spectateurs, en revanche… Bien sûr, cette attaque fut orchestrée par les Renards de Frost en vue de cimenter l’opinion public quant à la nécessité de cette zone. « Laissons-les entre eux et nous serons plus en sécurité ». Décidément, la trame de Psycho-Pass est très intéressante d’un point de vue sociale et politique. Vite, la suite ! Ces satanés renards ont toujours une longueur d’avance sur nos inspecteurs. Et il est temps que ça change.