En ce moment, la Team Rocket se la coule douce ! Jessie en vient même à rêver d’un mystérieux jeune homme la complimentant sur sa peau aussi douce qu’un Mucuscule. Or, dans son excitation onirique, la jeune femme en vient à bousculer James qui, à moitié réveillé, insère Miaouss dans la machine à Pokéballs ! Avant de se rendormir… « Bekipan ? » s’interroge le Pokémon pélican. Quelques secondes après, une pokéball fait son apparition ! Ha, non ! Plusieurs pokéballs ! TOUTES les pokéballs ?! Que des Gloupti, qui plus est ! Soit un Pokémon de type poison dont l’estomac est capable de digérer n’importe quoi. Hm ! On dirait bien que Bekipan vient de commettre une sacrée bévue ! […] « Il m’a fait du bien ce jogging ! » souffle Go avant d’avoir son attention attirée par un bruit dans le buisson à coté de lui. « Goooo ! » arrive Sacha en trombe avant de le bousculer. « Whoaaa ! » crie Go qui se retrouve par terre la tête la première dans la fougère. « Je ne vois plus rien ! ». « Go ? Ça va ?! ». « Glouuuuupti ! ». Bon.
Ces Gloupti ont causé un sacré ramdam ! Non contents d’avoir un estomac incroyablement profond, leur peau visqueuse fait que lorsqu’on les touche, on s’y retrouve collé(e)s pendant un certain temps. D’où cette traversée en boule de Gloupti à travers Carmin sur Mer, ahahah. Ça m’a rappelé le jeu vidéo Katamari Damacy ! Soit un titre consistant à faire rouler une boule, le Katamari, sur une dite surface en vue d’amasser toutes sortes d’objets ! Au final, on se retrouve avec un Katamari giiiigantesque ! Ici, c’était un peu le même principe. La Boule Gloupti a grandi encore et encore ! Heureusement que ces bestioles disposent d’un acide capable de supprimer les propriétés adhésives de cette glu de l’enfer ! Mise à part la folle escapade, j’ai beaucoup aimé la course endiablée entre Khélokrok, Tortipouss et leurs comparses carapace ! Au final, les deux rivales sont devenues deux amies ! N’hésitant pas à s’entraider chaque fois qu’elles se retrouvaient en difficulté… Que d’émotion !!! Akkez, à la semaine prochaine ! Et merci, Bekipan !
