Un viol. Encore un. Et si les médias en parlent cette fois-ci, c’est simplement parce que les circonstances sont « inédites ». À savoir que l’agression sexuelle a eu lieu en plein jour (10h30) et dans une station fréquentée de Paris (Dupleix, Ligne 6, 15e arrondissement). Alors qu’elle monte les escalators vers la sortie, une étudiante américaine de 19 ans se fait baisser le pantalon par un sous-homme qui lui impose une pénétration digitale (avec les doigts). Les cris de la victime finissent par faire fuir le déchet avant qu’une dame vienne en aide à la jeune fille. Celle-ci est actuellement hospitalisée et l’enquête a été confiée à la BRF (Brigade des Réseaux Ferrés).
Espérons que les images des caméras de vidéo-surveillance permettent d’identifier le monstre. Et si cela s’avère le cas, par pitié, qu’on le castre et qu’on l’enferme pour de bon. Pourquoi appliquer sans cesse un laxisme affligeant en termes d’application des peines lorsqu’il en vient au viol (et bien d’autres agressions) ? C’est en partie la raison pour laquelle ces vermines passent à l’acte. Sans compter la passivité de certains passagers qui pourraient venir en aide à la victime mais choisissent par couardise de détourner les yeux. Même si j’ose croire que ce ne fut pas le cas ici. Autrement, je finirai vraiment par perdre foi en cette ville.
Les enfermer, oui ? Aux frais du contribuable ?