Intéressant chapitre que ce focus sur Spinner et ces discriminés qu’il mène sans le réaliser. La faute à l’alter de gigantification pourvu par All For One qui lui empêche de réfléchir avec discernement. La seule consigne claire dans son esprit est la nécessité de libérer Kurogiri a.k.a. le plus sophistiqué des nomu crées par Daruma Ujiko. Son alter de téléportation pourrait être décisif dans la guerre qui fait rage. Et quoi de mieux que des civils acquis à la cause du Front de la Libération des alters pour semer le chaos ? Soit plus de 15.000 personnes dont les quirks ont modifié leur physique. Ce qui leur a valu d’être mis au ban de la société en plus d’être victimes d’agressions verbales si ce n’est physiques. Pas étonnant que les héros restants et les escouades de policiers se retrouvent désemparés face à l’ampleur de la rébellion. La plupart ne peuvent plus coordonner leurs actions et se retrouvent submergés par le nombre. On remerciera à nouveau les faux héros ayant lâché leur vocation suite à la dernière bataille.
Bref ! Ce clash devrait être l’occasion d’avoir un focus sur Koji Koda et Mezo Shoji. Tous les deux ayant eux-aussi des traits non-humains sur leur visage. Ce qui ne les a pas empêché de devenir des héros et, aux yeux des discriminés, rejoindre le camp de l’oppresseur. « Pourtant… » réagit un Shoji en colère. « J’ai cru comprendre que les héros avaient évacué les civils et le staff de l’hôpital à Jaku avant d’attaquer ! Et vous ? N’y avez-vous ne serait-ce que penser ?! ». Être victime de discrimination n’a jamais été un passe-droit pour la violence. Et au bout du compte, chacun reste responsable de ses actes. Chacun dicte un minimum sa vie. Allez, la suite ! Si Kurogiri est libéré, j’espère que Oboro Shirakumo finira par regagner son corps.