Ainsi donc les origines du quirk remonteraient-elles à la mère de Destro ! Celle-là même ayant enfanté le fondateur de L’Armée de la Libération —> Chikara Yotsubashi. Vous imaginez bien qu’à l’époque, ce phénomène qu’est le Quirk ne fut pas accueilli positivement par la population. Fidèle reflet de notre civilisation humaine, un facteur aussi différenciateur ne pouvait rencontrer que la méfiance si ce n’est la haine. Malgré tout, Mrs. Yotsubashi a défendu son fils jusqu’au bout. « Il ne s’agit que du quirk de mon fils et cela arrivera de plus en plus ! Nous devons créer un monde dans lequel cet enfant et les autres à venir pourront s’émanciper librement ». Au final, sa lutte pour de nouvelles libertés l’amena tout droit vers la mort. Assassinée par une faction anti-super-pouvoirs. Mais loin d’éteindre les volontés des possesseur(e)s de quirk, la mort de Mrs. Yotsubashi engendra une vague de protestations à travers le monde. Puis vinrent les héros qui, à l’époque, étaient des justiciers de la rue. Le gouvernement s’est associé à eux et de là, L’Association des Héros fut fondée.
Seulement, aux yeux de Destro, les mots de sa mère et sa volonté première ne furent absolument pas respectés. Si ce n’est être utilisés en tant que slogans dans des campagnes politiques. De fait, personne n’est autorisé à utilisé son alter comme il le souhaite sans intégrer L’Association des Héros et en accepter les règles. « Si les masses ne peuvent pas utiliser leurs quirks comme elles le veulent, la libération ultime n’aura jamais lieu » crie Destro alors que le clone de Shigaraki tente de le toucher. Et bien ! Ce chapitre dédié aux origines du quirk fut instructif. Le fait que Chikara Yotsubachi soit le descendant de Destro me laisse espérer qu’il ne sera pas qu’un apéritif eu égard à Tomura mais bel et bien un méchant à part entière. Ceci-dit, avec l’arrivée imminente de Gigantomachia, je me demande comment lui et L’Armée de la Libération vont survivre. Allez, la suite !