« Veuillez partir… » intime Serizawa à Shigeo. « Je ne veux pas vous faire du mal. Ha ! Et reprenez ce type, là ». « Le Premier Ministre ? » s’interroge Mob. « Heinnnn ?! C’est le premier ministre ?!! ». C’est à ce moment que Smile et Bob comprirent qu’ils avaient affaire à un idiot. « Vous faites partie du groupe qui l’a enlevé mais vous ne saviez pas de qui il s’agissait ? ». « Je ne regarde jamais la télé… » explique l’ancien hikkomori (ces individus qui s’enferment dans leur chambre pour jouer aux jeux vidéo). « Le grand public pense qu’on est les méchants ? ». « Vu les dégâts que vous avez causé… » tente de lui expliquer Mob. « C’est normal qu’on ne vous voit pas d’un bon oeil ». « Le Président m’a assuré que tout le monde avait eu le temps d’évacuer ! ». « Le Président ? » tilt Smile. « Celui qui m’a secouru de l’enfer qu’était ma vie… » répond Serizawa. « Il y a trois ans de ça ». Ce parapluie qui ne le quitte jamais ? Un présent de Suzuki Toichiro. « Mon Héros ! ». Et celui qui lui a montré La Voie pour se réintégrer dans la société.
Ce Suzuki Toichiro a l’air plus puissant que prévu. Maissss il ne fait aucun doute que Mob-kun le fera redescendre sur Terre comme il se faut ! Et si ses 100% de rage ne conviennent pas, la forme « ??? » de notre héros prendra le relais. Quel dommage que le boss final soit aussi plat en termes de personnalité. Parce que le type a hérité de pouvoirs énormes, sa seule préoccupation est de dominer le monde. Sans la moindre justification ! Juste parce que monsieur en a la capacité. On est loin de Pain (Naruto)… Pourtant, One a maintes et maintes fois démontré qu’il était doué en termes de Character Building. Mob, notamment, a sacrément évolué depuis ses débuts. Timoré et replié sur lui-même, le voilà sûr de lui et prêt à tendre la main à un maximum de personnes possible. Tout en comptant sur le soutien de ses camarades. On n’en dira pas autant de Toichiro. Enfin ! Au moins aurons-nous le droit à un combat dantesque d’ici la semaine prochaine ! Et vu la capacité de Bones à nous vendre du rêve de ce coté là, on s’en contentera.