Et là on se dit « Mais elle est pas trop jeune la petite ? ». Même si son éventuelle présence au sein du groupe de J-Pop AKB48 est loin de me choquer autant qu’une Jordyn Jones ou une Sophia Grace. Car contrairement à elles, Maria Imamura danse et chante d’une manière tout à fait saine et sans allusions matérialistes voire sexuelles. Ça reste kawaii, bon enfant et on voit bien qu’il n’y a pas vraiment anguille sous roche quant à l’impact qu’aurait la présence de Maria Imamura au sein de AKB48. Ou presque…
Car au final, tout dépendra de la thématique choisie puisque, pour avoir vu quelques chansons de AKB48, certaines flirtent quand même pas mal avec le sex-appeal de la vingtaine de chanteuses présentes dans les différentes teams (Team A, Team K, Team B, Team 4 & Team 8). Sachant que leurs fans sont suffisamment spéciaux pour réclamer la « virginité » de leurs idoles.
Quid si l’une d’entre elles se fait surprendre en train d’avoir une relation sentimentale ? Et bien autant vous dire qu’elle a intérêt à se RASER LES CHEVEUX et réclamer le pardon des fans qu’elle a trahi. Non mais ! Pourquoi une telle violence ? Car la majorité des fans préfèrent s’imaginer la possibilité d’un avenir rêvé avec leurs idoles chéries. Or, pour entretenir ces fantaisies un poil malsaines, avoir un petit ami n’est PAS recommandé.
Ça fait même parfois partie du contrat des idoles japonaises : s’engager à ne pas avoir de relations sentimentales/physiques tant qu’on appartient à tel ou tel groupe J-Pop. Or, sachant que le Lolicon (attirance sexuelle pour des filles de 10 à 15 ans) a particulièrement la côte au Japon, j’avoue ne pas être 100% à l’aise vis-à-vis de l’éventuelle présence de Maria. À noter qu’elle est pour l’instant finaliste au casting et qu’il est donc encore possible qu’elle ne soit pas sélectionnée. Affaire à suivre ?
