Riko, Reg et Nanachi y sont enfin parvenus —> La Capitale des Morts ! Ou la Cité du Non-Retour. « Cette Ville en Or située au delà de la vie humaine ». Vaste au point d’être renversante. « Et il fait si chaud ! » réalise Riko avant d’enlever sa veste et manquer de tomber dans une fosse. « Fais attention… » s’agace Nanachi. « On navigue en territoire inconnue ! ». « Désolé ! ». Et quid de ce cristal présent à même le fossé ? Et pourquoi des éléments architecturaux semble intégrer les pics de roche ? « Comme si la terre avait d’un coup avaler la cité ! » s’exclame Riko. Il n’empêche que rester ici est dangereux. « Ces vagues de conscience » ressent Nanachi. « Nous devons trouver un abri où camper ! Et vite ! ». Il serait également avisé d’établir une carte. « Reg… » s’enquiert Nanachi. « Tes blessures se sont-elles résorbées ? ». « Suffisamment pour pouvoir vous protéger ! ». Dans ce cas, en avant ! « Myaaaa ! » cria Meinya.
Riko a une ténacité incroyable pour s’émerveiller de bulles géantes de laves explosant à tire-larigot… Et ces oeufs de mizojacks ! Leur chair est tellement résistante que même après avoir été ébouillantés, les muscles continuent de bouger ! L’imagination de Akihito Tsukushi est incroyable pour avoir confectionné un lore et son bestiaire de manière aussi détaillée et passionnante ! Puis ces bouteilles du ciel que Riko ne cesse d’envoyer dans l’espoir que ses amis d’en haut mettent la main dessus… La dernière n’aura pas fait long feu, ahah.
Et qui sont ces créatures aux méthodes peu ragoûtantes ? Un repère gravé à même la chair d’une immense créature défunte. Et ces oreilles, ongles, mâchoires, côtes attachées à des fils comme de sinistres guirlandes… Si on se fie à la terrifiante phrase prononcée par Riko en fin d’épisode, toutes ces créatures aux allures peu communes étaient jadis humaines. Avant d’être contraintes à « l’évolution » au sein de la Cité du Non-Retour. Allez, la suite ! La réalisation du studio Cinéma Citrus est toujours aussi irréprochable. Quels décors ! Et quelle découverte de l’inconnue !
