Samedi, 18h : Arturo Roman, directeur de la Fabrique, s’est fait tirer dessus par les autorités. Sur ordres de Raquel Murillo qui pensait avoir affaire à une exécution d’otages. Et pendant que son amant se fait transporter d’urgence dans la cellule de soin, Monica Gaztambide sort de sa chambre forte. […] Raquel s’en veut à un point inimaginable. Elle aurait dû devenir qu’il s’agissait d’un otage et non pas d’un voleur ! C’est elle qui a passé le plus de temps avec le cerveau du groupe. Elle aurait dû prévoir qu’il n’aurait jamais pris le risque d’exécuter des otages sur le toit de la Fabrique ! […] Alors qu’il se vide de son sang, Arturo Roman attend la limpidité de la mort pour savoir quelle femme il aime. Laura, la femme avec laquelle il a vécu 14 années ? Ou Monica ? Une chose est sûre —> Arturo est un sinistre lâche. Pour avoir trompé sa femme et fait miroiter allez-savoir-quel-rêve à sa maîtresse.
Bon épisode ! Avec à un nouveau focus qui nous fait apprécier l’un des membres de la Team Dalí ! Ici, en l’occurence —> Nairobi ! La spécialiste de la falsification de billets ! Non pas que son histoire de gosse dont elle a perdu la garde soit émouvante. C’est davantage sa personnalité totalement folle qui tape dans l’oeil ! On a l’impression que la belle se croit dans une colonie de vacances ! Pour autant, soyez certains qu’elle est l’une des personnes les plus déterminées à faire en sorte que cette mission soit une réussite. Pour retrouver son gamin. D’ailleurs, c’est la seule à ne pas avoir commis UNE faute depuis le grand casse ! J’espère que son coup de coeur pour Le Professeur ne se retournera pas contre elle. J’ai encore du mal à savoir si ce type est bon ou mauvais… Mais parlons un peu de Monica Gaztambide !
Mérite t-elle un type comme Arturo Roman ? Bien sûr que non ! Par contre, j’ai l’impression qu’un certain Denver est en train de s’amouracher de la belle ! De là à dire que lui et Monica formeront un couple, il n’y a qu’un pas que je ne franchirai point. Pour rester dans la catégorie des sales types, le Colonel Prieto est lui-aussi sacrément garni ! Dès qu’il peut placer une phrase sexiste sur les hormones des femmes, il ne s’en prive pas… J’ai du mal à comprendre à quoi sert son personnage. À part énerver tout le monde… Ceci-dit, il est indéniable que Raquel enchaine les erreurs ! Chacun de ses coups est anticipé par Le Professeur. Ici, en l’occurence, le fait d’avoir envoyé Angel, son collègue, infiltrer l’équipe d’infirmiers dépêchée sur place. Histoire d’opérer Arturo… Allez, la suite ! Je me demande comment tout ça va finir.
