« Oiran ! Oiran ! » quémandent les deux petites filles. « Jouons ! Jouons ! ». « Bien ! Bien ! » répond Koinatsu. « Tu peux me lire une histoire ? ». « Ce serait avec grand plaisir ». « Moi-aussi, je veux une histoire ! ». « Laisse-moi d’abord lire la sienne et ensuite, je lirai la tienne ». Peu de temps après, la Oiran leur confia ses deux précieuses broches. « Si je vous les lègue, c’est parce que je me suis profondément éprise de vous-deux ». « Hoooo ! Trop bien !!! ». À quelques pas, Tanjiro assiste à la scène sans mot dire. Le sourire aux lèvres. […] « Comment ça, elle est introuvable ?! » s’exclame le propriétaire de la maison Kyogoku. « Zenko s’est évanouie alors nous l’avons laissée se reposer dans sa chambre mais quand nous sommes revenues… » explique l’une des servantes. « Il n’y avait plus aucune trace d’elle ». « Encore un Ashinuke, hein… » en conclut le directeur. Soit le fait pour une courtisane de s’enfuir avec un amant en vue d’échapper à ses dettes. « Dégagez d’ici ! Et ne mentionnez plus jamais son nom !!! ».
Manifestement, les régent(e)s des trois grandes maisons sont parfaitement conscients de l’emprise de Warabihime sur leurs vies. Et tant pis s’il leur faut croire au Ashinuke alors qu’il est évident que leurs courtisanes ont été tuées. Dans le cas, ils mourront aussi. Alors au diable leur colère et leur impuissance. À moins qu’une main extérieure ne s’offre à eux ? Rappelons que le directeur de la Maison Kyogoku a perdu sa femme des mains de Warabihime. Bien sûr qu’il souhaite se venger ! Seulement, il ignore comment combattre un monstre capable de l’anéantir d’un claquement de doigts. Même sentiment pour Koinatsu qui, je l’espère, parviendra à survivre.
Son personnage a eu peu de temps d’exposition mais parait bienveillant. Peu d’aspérités visibles, ceci-dit ! Je me suis même demandé si elle était une démone ! Ça aurait été un sacré retournement de situation… Enfin ! Voyons voir ce que Tanjiro va pouvoir faire contre Daki ! En attendant que Tengen ne fasse son entrée. L’épisode est passé à une vitesse ahurissante… Gage de qualité ?
Les épisodes de Kimetsu passe toujours aussi vite, c’est sûrement la mise en scène qui nous fait rentrer pleinement dans le truc qui nous fait ressentir cette sensation