Donc Erza nous la joue Shaka des Chevaliers du Zodiaque. Well, why not. Par contre, ce qui est con avec Fairy Tail, c’est qu’à aucun moment, pas même lorsque Kyouka prive Erza de ses cinq sens, on se dit « Ho la la, ça va être chaud là ». Nope, pour ma part, j’ai tranquillement continué à boire mon café tout en faisant défiler les pages : parfaitement conscient que, à la fin, Erza allait s’en sortir grâce au pouvoir de l’amitié. Et ça n’a pas loupé.
Et ça continuera à être comme ça jusqu’à la fin de Fairy Tail. Qu’on se le dise : les seuls avantages de ce shonen sont les dessins et ses persos. Le reste = poubelle. Ce que fait Kyouka à Erza est censé être horrible mais les dénouements sont tellement toujours rose bonbon que ça ne nous touche même plus. On SAIT qu’il y aura un happy ending au bout. Bref, vivement la défaite de Tartaros histoire qu’on puisse assister à la défaite de Zeref (puis d’Acnologia).