Vous savez, j’ai fini par m’habituer à toutes ces choses. Ou plutôt, je sais pertinemment que, à partir du moment où je vois « Japan » ou « Japanese », ça va être quelque chose qui va élargir ma conception du faisable. Du genre «Ha tiens ! J’avais pas pensé qu’on pouvait faire ça ». Ici, en l’occurrence, je n’avais encore jamais réalisé qu’il était possible de commercialiser un bikini sans lanières. Maintenant, je le sais. Merci le Japon.
S’abonner
Connexion
0 Commentaires