Des sextos et un baiser sur les lèvres. Notez qu’il ne s’agit pas d’une agression sexuelle à proprement parler malgré le statut mineur de la collégienne. Laquelle avait 14 ans au moment des faits (2013). Le célèbre trompettiste de jazz, Ibrahim Maalouf, en avait quant à lui 32. Et j’imagine que si on entend parler de cette affaire aujourd’hui, c’est que la victime présumée a porté plainte… Ou bien ses parents l’ont incité à le faire. Reste que la gamine effectuait un stage de 3e dans le studio d’enregistrement de Ibrahim. Pendant une semaine et à la demande des parents. C’est à l’issu de ce stage que le musicien et la collégienne se sont rapprochés. Un baiser sur les lèvres est échangé et la petite serait « plus ou moins tombée amoureuse ».
Ibrahim Maalouf et la petite continuent d’échanger par SMS et finissent par s’envoyer des sextos. À un moment donné, le trentenaire (…) demande à la mineure de lui envoyer une photo d’elle nue —> Refus. Peu de temps après, les parents découvrent la relation et Ibrahim leur fait ses excuses. Ce qui n’empêchera pas un dépôt de plainte deux ans plus tard. Cela notamment du fait d’un état psychologique de plus en plus instable de la victime. L’occasion de rappeler que la majorité sexuelle en France est de 15 ans. Reconnaissant pleinement les faits et demandant pardon à la gamine, à ses parents ainsi qu’à ses fans, Ibrahim espère se repentir de ce qu’il a fait. M’est avis qu’il n’aurait jamais dû céder pour commencer. Même si elle avait eu 15 ou 16 ans, cela reste à mon sens trop limite pour justifier d’une relation avec une personne faisant le double de son âge.