Ce que redoutait le manager de Marcus Rosario, Bin, s’est avéré fondé. Le champion du monde de la catégorie Poids Légers n’a pas pu gérer efficacement son poids en prison. D’où cet excès de 1,5 kg dont il va falloir se débarrasser avant la seconde pesée. Et en parlant de ce Monsieur Bin, il semblerait que Rosario ne soit pas la seule entité hors clou du lot. De fait, Bin semble appartenir à un réseau mafieux. En plus d’avoir trempé dans plusieurs affaires louches. Il se pourrait même que son boss soit celui qui lui ait confié Rosario. Et pour cause, il s’agirait de son garde du corps ! Quoique, nous ne sommes pas sûrs qu’il occupe toujours cette fonction mais c’était le cas durant son adolescence. Et si Rosario n’était qu’un jeune homme exploité par un cartel dont il ne pourrait jamais se défaire ? Ça pourrait expliquer sa personnalité et ce tempérament d’enfant sur la tangente.
Plus les chapitres défilent, plus j’ai la sensation d’avoir affaire à la « victime » d’un système impitoyable plutôt qu’un bourreau né. À quel degré lui a t-on façonné le cerveau ? Voulait-il vraiment boxer pour commencer ? Une chose est sûre —> Marcus Rosario est fort. Au point de ne pas faire frémir une seconde Bin quant à la possibilité d’une défaite. Aurions-nous affaire à un autre génie de la boxe ? Son mental semble quoiqu’il en soit hors clou avec une capacité déconcertante de faire face à la mort. Il me fait un peu penser à Bryan Hawk qui a lui-aussi survécu dans la rue. Seulement, Marcus a l’air davantage brisé que sadique. À voir si ma théorie se confirme. En attendant, il me tarde de voir comment Rosario perdra son kilo et demi en trop tout en étant d’attaque contre une faucheuse plus que jamais en forme.
En effet, j’ai eu l’impression de voir un Rosario moins fripouille dans ce chapitre.
Yup hâte de voir ce qu’en pensera Mashiba au fil du combat