Malheur ! Cet imbécile de Sogo Okita s’est fait posséder par Maganagi ! « Le sabre et le pantin les plus puissants sont réunis ! J’ai enfin obtenu une puissance sans égale dans l‘univers ! Mwahaha !!! ». Mais Gintoki ne compte pas se laisser impressionner ! D’autant plus avec l’assistance de Kusanagi qui entend bien sauver sa femme, Sayako ! Des griffes du malfaisant Excaliburien ! Mais alors que Sayako tente de s’interposer entre les deux sabres, voilà que Kusanagi apprend une terrible vérité —> Le fourreau qu’il croyait être sa femme est en réalité sa fille !!! « N’ayez crainte » continue Maganagi. « Vous terminerez tous les trois dans mon estomac ! Mwahaha !!! ». « Tss ! Dans tes rêves ! » réplique Gintoki ! Kusanagi est peut-être émoussé mais il suffit de lui donner du sang (par les fesses) pour lui redonner sa splendeur d’antan ! De son coté, Sogo a déjà repris le contrôle de son corps ! L’occasion d’en finir avec ce duel absurde mais ô combien essentiel ! « Ouooooooooooh !!! ».
Af ! L’histoire de Kusanagi m’avait intrigué au départ mais c’est parti un peu trop en vrille ! J’ai toujours un peu de mal à rester impliqué lorsqu’un arc comique tente d’être sérieux en insérant des éléments semi-dramatiques. Ici, le sacrifice de Kusanagi après qu’il apprend que sa femme, Sayako, s’est en réalité sacrifiée pour sauver leur fille, Saya. Ceci-dit, ça nous a permis de voir à quel point Sogo Okita était un sacré bretteur ! Quand bien même Toshiro Hijikata, vice-capitaine du Shinsengumi, reste au-dessus. D’ailleurs, ça serait sympa que Hideaki Sorachi nous montre ENFIN pourquoi ce gorille de Isao Kondo est le Capitaine du Shingengumi ! En 49 tomes, je ne l’ai jamais vu être à la hauteur de son titre… Bref ! Place à la Déesse du Ramen !
Ikumatsu ! A.k.a. la Taulière de « La Grande Ourse » ! Son mari s’est fait tuer par des terroristes et depuis, Ikumatsu doit gérer l’échoppe seule. Elle avait été introduite il y a de ça une trentaine de tomes mais vous imaginez bien que je ne m’en souviens plus ! Ce qui n’enlève en rien à l’intérêt de cet arc ! D’autant plus que la belle Ikumatsu s’est trouvé un admirateur très particulier –> Kotaro Katsura ! Mon personnage favori !!! Et parce qu’il l’aime trop pour tenter de remplacer son mari (du moins pour l’instant), le leader du Mouvement Joi s’allie avec le père disparu de son amoureuse ! Histoire de se débarrasser d’un beau frère cassos… J’ai été davantage charmé par cette histoire d’amour entre un père aimant, son stalker et la déesse du ramen plutôt que le récit de Kusanagi.
J’espère qu’on reverra Katsura en compagnie de Ikumatsu !!! Vu qu’il n’a pas eu le courage de lui révéler ses sentiments… Il faut dire que la demoiselle a du temps perdu à rattraper avec son bon à rien de père ! Figurez-vous qu’il venait lui rendre visite tous les soirs de la Saint-Sylvestre ! Il commandait un bol de nouilles comme au bon vieux temps. Un bol qu’il partageait à l’époque avec sa femme et sa fille. La fille avait le droit à toutes les portions de viande… Et oui ! Avant de connaitre le succès grâce au magasin de tissus Nishikiya, la famille de Ikumatsu était pauvre. Puis le papa a commis une infidélité et s’est fait jeter du foyer par sa femme. Avant de perdre la mémoire. Pourtant, chaque nuit de la Saint-Sylvestre, son obsession de partager son bol de ramen avec sa fille sera resté. C’est triste !!! Surtout que Ikumatsu n’a jamais reconnu son paternel durant toutes ces années. Sur ce, rendez-vous au Tome 50 ! J’approuve le choix de O-Tae en tant que nouvelle gardienne du Kabuki-Cho !!! Sa poigne de fer permettra de redonner un nouvel éclat au quartier malfamé… Gogogogo !!!
