« Lorsque tu m’as tendu la main, tu n’étais qu’une mauviette et j’étais un démon ». Et pourtant, Akira accepta sans problème Ryo Asuka. Lui qui était rejeté de tous. « Je me rappelle de ce chat au bord de la mort que je voulais achever. Mais tu t’es interposé parce que tu croyais qu’il allait survivre. Évidemment, il a fini par mourir et tu as pleuré toutes les larmes de ton corps » […] 10 ans plus tard : Akira est toujours aussi émotif. Et cela, Miki, son amie du lycée, en a parfaitement conscience. Pour autant, ce qui lui importe, c’est que Akira s’achète enfin un portable ! « Tu pourras envoyer des textos à tes camarades et si tu veux mater du porn, tu pourras le faire sans te prendre la tête à effacer l’historique du PC de tes parents ! ». Ha, Miki et ses arguments imparables. Bref ! Ce qui importe au jeune homme, c’est de suivre discrètement son amie. Parce qu’il sait qu’elle a le chic pour s’attirer des problèmes ! La preuve…
Je comprends mieux les critiques de Devilman Cry baby eu égard aux dessins ! C’est très…épuré ! Sans que l’animation soit extrêmement fluide en retour. Pour ne rien arranger, le pitch de départ est flou ! On nous raconte cette histoire de Akira qui serait devenu ami avec Ryo Asuka puis, hop, nous voilà transportés 10 ans plus tard ! Avec Ryo qui a migré aux US et y est devenu professeur. Mais pour une sombre histoire de mort mystique, le voilà de retour au Japon. Selon lui, un Professeur (Fikira) aurait été parasité par un démon suite à des recherches en Amazonie. À savoir qu’un Akuma ne peut vivre sur Terre sans avoir fusionné avec un humain. Dans de rares cas, il arrive que celui-ci parvienne à reprendre le contrôle de son corps. Fikira a tenté d’y parvenir mais n’y arrivant pas, il a choisi de se brûler vif… Pourquoi Ryo est-il revenu ? Dans l’espoir d’y débusquer un Akuma à la soirée du Sabbath. Le mode opérationnel est charmant au possible —> Poignarder le plus de monde possible afin que les Démons soient attirés par l’odeur du sang. Et ça a marché ! […] Ok ! Je retire en partie ce que j’ai dit ! Le dessin de DCB possède un certain cachet ! Notamment lorsqu’il se déploie à travers des scènes obscènes et gores au possible. La révélation du Démon qui sommeillait en Akira, Amon, est dingue !!! Ces tambours ! Cette musique épique !! Cette violence !!! Il n’en fallait pas plus pour me donner envie de voir la suite huhu.