Plaisir de l’argent d’un coté. Plaisir des yeux de l’autre. Nous avons beau être en 2017, de nombreux cirques continuent d’exploiter des animaux à travers le monde. Un spectacle amoral et barbare qui continue d’avoir lieu pour de nombreuses raisons. Parmi elles —> L’ignorance (criminelle) du spectateur. Lequel n’a parfois aucune idée de la torture infligée aux animaux en vue de les faire réaliser ces tours « fantastiques ». Par exemple, les éléphants sont battus à l’aide de bâtons qui infligent des décharges électriques ou sont munis de crochets à l’extrémité. Si l’animal continue de désobéir, les sévices continuent. Jusqu’à ce qu’il craque physiquement et mentalement. Pour optimiser les taux de réussite, les directeurs de cirque font en sorte de séparer les éléphanteaux de leur mère dès qu’ils refusent d’obéir. Un véritable traumatisme pour ces animaux dotés d’un sens social et familial particulièrement développé.
#NonAuxCirquesAvecAnimaux pic.twitter.com/V94qXrBGEP
— OcéaneRgt (@oceaneringot) 2 juin 2017
Les ours ? Muselières + colliers ultra serrés et coups avec des barres de fer. Les ours/tigres ? Coups de bâton/fouet et chaines. Le tout dans un univers fermé, froid et qui finit par rendre les animaux fous. Forcément —> Lorsque vous torturez et exploitez un être vivant durant x temps, souvent dès son plus jeune âge, il finit par sombrer dans la démence. Le comportement naturel est scellé et remplacé par des numéros de cirque. En France, l’exploitation d’animaux dans des cirques n’est interdite que par le biais d’arrêtés. Pris par seulement une trentaine de communes. Et encore, cela n’empêche pas les établissement de s’y installer. La faute à une législation beaucoup trop laxiste. En parallèle de ça, certains clients sont bien conscients de la souffrance animale mais choisissent de l’ignorer pour leur plaisir cupide. Le chemin à parcourir est encore long. Mais il ne faut pas abandonner. Pas tant que tous les animaux de cirque ne seront pas libérés et remis dans des sanctuaires ou des refuges habilités.