Faut-il en rire ou en pleurer ? Reste que la réalité est là : une entreprise brésilienne, Namoro Fake, s’est positionné sur un segment très particulier qui est celui de faire passer ses employées pour les petites amies d’internautes sur le célèbre réseau social. Ainsi, selon le forfait payé, celles-ci peuvent laisser des faux commentaires sur votre statut ou bien poster des messages type « Je t’aime mon doudou toi et moi pour la vie ».
Ainsi, il devient possible pour 99$ d’avoir une relation pérenne d’un mois ou bien, pour 39 $, d’obtenir sans efforts une petite aventure passagère d’une semaine. 19 $ et c’est aux commentaires de votre ex virtuelle que vous aurez le droit. Le but de Namoro Fake est pouvoir au choix gagner en popularité ou bien susciter la jalousie chez les amies féminines du client. Moui.
Et le pire, c’est que ça marche puisque la compagnie dit avoir embauché plus de 10 femmes pour répondre aux besoins des internautes brésiliens en mal d’amour et d’eau fraiche. Comme quoi les japonais n’ont pas le monopole des services forever alone et que le marché des célibataires esseulés est probablement bien plus important qu’on ne le pense.
Après le Japon c’est quand même un autre level entre les applications de copines virtuelles à base de réalité augmentée, les oreillers en forme d’héroïnes de manga ou encore les jeux flash allant de la drague mignonnette au viol pur et simple. Faut se dire que certains japonais en viennent à se marier avec leur jeux vidéo parce qu’ils sont tombés amoureux d’un avatar virtuel (un programme en somme). Vivement les robots sexuels !