C’est fou de voir à quel point Boruto s’est amélioré entre la première phase et la deuxième ! Notamment l’écriture et la narration qui s’exécutent de manière à la fois fluide et cohérente. Exemple parmi tant d’autres, l’explication démontrant comment Boruto est parvenu à maîtriser la technique du Hiraishin aka le Vol du Dieu de la Foudre. Un ninjutsu d’espace-temps particulièrement difficile à maîtriser et initié par le deuxième hokage, Tobirama. On a tendance à l’oublier mais Minato est celui qui a popularisé cette technique en plus de la personnaliser et lui donner un éventail plus versatile. Concernant Boruto, celui-ci fait en sorte de marquer différents kunai de son chakra avant d’utiliser son aptitude Otsutsuki pour se téléporter. Les formes différentes associées aux kunai lui permettent ensuite de localiser avec précision l’endroit où il va atterrir. Qu’importe la distance. Normalement, Boruto aurait dû maitriser cette technique d’ici six ans mais, grâce au Jippo (Dix Directions) de Kashin Koji, il a pu le faire en deux ans. Ce qui fait d’eux des singularités du destin.
À savoir des « électrons libres » faisant de leur mieux pour pousser le futur vers la direction qui leur convient le mieux. Et c’est compliqué vu que plus des individus sont au courant du futurs qui les attend, plus le destin devient imprévisible. Voilà pourquoi Boruto et Kashin ne peuvent trop en dire. Deux singularités, c’est déjà beaucoup. Heureusement que le génie et l’instinct de Shikamaru sont à l’oeuvre pour permettre au meilleur futur de se réaliser. Ça fait plaisir de le voir au premier plan ! De même, je m’attache de plus en plus à Eida qui découvre avec joie les dramas de l’adolescence, ahah. Mis à part cela, je me demande comment Mitsuki, Sarada, Konohamaru, Yodo et Araya parviendront à neutraliser deux Shinji (Ryu et Matsuri). Ça me parait perdu d’avance mais qui sait, Kashin ne les pas envoyé ici pour rien.