Beaucoup de choses qui se passent dans ce chapitre et, ma foi, ça fait plaisir ! J’ai toujours trouvé que le rythme mensuel de Boruto ne convenait pas vraiment à Mikio Ikemoto. Ici, heureusement, la fluidité est de mise et les évènements s’enchaînent avec un plaisir certain. À commencer par ce Flying Raijin de Boruto ! Revoir une technique de feu Minato dans Boruto est nostalgique. D’autant plus quand on prend en compte le lien de sang qui relie les deux hommes. Et, fichtre, quelle évolution de Boruto ! Même sans Karma, on voit clairement que le ninja est un as parmi les as dans son arsenal de jutsu. Entre son nouveau rasengan Usuhiko, sa maîtrise du chakra de foudre ou la téléportation instantanée, Boruto a de quoi nous faire rêver. Et cela face aux consciences à peine éveillées de Juubi. Ça m’a pris du temps pour comprendre que chacune de ses entités étaient liées aux personnes transformées en arbres ! Il y a donc Bug, deux autres individus non identifiés et… Sasuke !
On ignore encore comment mais Sasuke a été scellé par Juubi. D’où cette copie terrifiante de lui. Mais ce qui fait vraiment peur est de voir que la Bête aux Dix Queues a développé plusieurs consciences. Au point contrôler son instinct primaire de dévorer le fruit du chakra. C’est ce qu’il manquait au premier Juubi, une véritable personnalité. Peut-être même un agenda. Notez qu’il est capable de tirer sa force de tout ce qui vit et a vécu. Autant vous dire que nos ninjas vont devoir s’allier autant que possible pour contrer une telle menace. À cet égard, il était temps de retrouver Kashin Koji ! J’espère qu’une relation prof/élève s’instaurera entre lui et Boruto. Différente de celle entre Naruto et Jiraya, bien sûr, mais tout aussi essentielle. Autrement, j’ai vu une théorie intéressante sur le net qui dit que l’égo féminin de Juugi pourrait être tirée de… Moegi. Et, effectivement, outre la ressemblance, elles semblent partager le même style Doton. Whoa ! Si Pierrot parvient à rebondir après l’adaptation inégal de la première phase de Boruto en anime, on risque d’être gâtés.
